De l'économie des faits glanés par dakarposte, il ressort que c'est le nommé Massogui Ndiaye, qui a porté plainte contre Souleymane Dia, patron de "Galoya Voyages".
Expliquant son courroux, Massogui Ndiaye dira que Souleymane Dia avait contacté son beau fils pour un voyage en Arabie Saoudite. Après discussions, des plages de convergence ont été trouvé. C'est ainsi qu'un contrat a été signé entre les deux parties et le beau fils de Massogui, un certain Mouhamed Ndiaye de verser la somme de 900.000 cfa.
Invité à être plus explicite, le plaignant a laissé entendre que le patron de "Galoya Voyages" a bel et bien fait voyager son beau fils, mais ce qui aurait été conclu sur le travail sur place n'aurait pas été respecté. Selon le plaignant, son beau fils l'aurait contacté pour lui dire que contrairement aux propositions de Souleymane Dia, le salaire qui lui a été proposé aux lieux saints de l'Islam était en deca de la convention.
"Mon beau fils m'a dit qu'on lui a montré un contrat de travail en Arabe avec un salaire de 135.000 cfa" expliquera le plaignant, "alors que, renchérit-il, des émoluments de 400.000 cfa ont été convenu depuis Dakar avec Souleymane Dia"
C'est ainsi que Massogui demandera à Dia de lui rembourser son argent arguant que ce dernier n'aurait pas respecté son engagement.
Interpelé par les enquêteurs, Dia de balayer d'un revers de main. Il révélera que ce sont ces les autorités sadoudiennes, via leur ambassade, qui ont jeté leur dévolu sur lui aux fins de recruter des travailleurs qui devaient migrer vers l'Arabie Saoudite.
A l'en croire, il a priorisé ses amis, mais il revenait à ses derniers de se prendre en charge pour les frais à savoir: billet d'avion, hébergement, etc...
Il se dit alors surprit d'être trainé dans la fange par le plaignant qui lui réclame son argent après avoir séjourné une semaine en Arabie Saoudite.
Il précisera que seul Mohamed Ndiaye aidé en cela par Massogui, a agi ainsi car les autres ont tous voyagé et ont déja entamé leur travail.
Faux, rétorque Mohamed Ndiaye que Dia leur a remit au moment de l'embarquement un contrat mais sous pli fermé et à l'ouverture de l'enveloppe ils (lui et les autres candidats au voyage) ont alors constaté que c'etait écrit en arabe. N'empêche, ils ont embarqué. C'est après qu'il s'est senti abusé, c'est à dire lorsque le responsable de la firme où il devait travailler lui a dit de signer un contrat pour 900 riyals/mois (135.000 cfa).
Il dit être revenu au bercail parce que Dia aurait abusé de sa confiance. D'où sa plainte dans laquelle il demande le remboursement sans condition de son argent.
Affaire à suivre d'autant que le bras de fer continue aux dernières nouvelles...
Expliquant son courroux, Massogui Ndiaye dira que Souleymane Dia avait contacté son beau fils pour un voyage en Arabie Saoudite. Après discussions, des plages de convergence ont été trouvé. C'est ainsi qu'un contrat a été signé entre les deux parties et le beau fils de Massogui, un certain Mouhamed Ndiaye de verser la somme de 900.000 cfa.
Invité à être plus explicite, le plaignant a laissé entendre que le patron de "Galoya Voyages" a bel et bien fait voyager son beau fils, mais ce qui aurait été conclu sur le travail sur place n'aurait pas été respecté. Selon le plaignant, son beau fils l'aurait contacté pour lui dire que contrairement aux propositions de Souleymane Dia, le salaire qui lui a été proposé aux lieux saints de l'Islam était en deca de la convention.
"Mon beau fils m'a dit qu'on lui a montré un contrat de travail en Arabe avec un salaire de 135.000 cfa" expliquera le plaignant, "alors que, renchérit-il, des émoluments de 400.000 cfa ont été convenu depuis Dakar avec Souleymane Dia"
C'est ainsi que Massogui demandera à Dia de lui rembourser son argent arguant que ce dernier n'aurait pas respecté son engagement.
Interpelé par les enquêteurs, Dia de balayer d'un revers de main. Il révélera que ce sont ces les autorités sadoudiennes, via leur ambassade, qui ont jeté leur dévolu sur lui aux fins de recruter des travailleurs qui devaient migrer vers l'Arabie Saoudite.
A l'en croire, il a priorisé ses amis, mais il revenait à ses derniers de se prendre en charge pour les frais à savoir: billet d'avion, hébergement, etc...
Il se dit alors surprit d'être trainé dans la fange par le plaignant qui lui réclame son argent après avoir séjourné une semaine en Arabie Saoudite.
Il précisera que seul Mohamed Ndiaye aidé en cela par Massogui, a agi ainsi car les autres ont tous voyagé et ont déja entamé leur travail.
Faux, rétorque Mohamed Ndiaye que Dia leur a remit au moment de l'embarquement un contrat mais sous pli fermé et à l'ouverture de l'enveloppe ils (lui et les autres candidats au voyage) ont alors constaté que c'etait écrit en arabe. N'empêche, ils ont embarqué. C'est après qu'il s'est senti abusé, c'est à dire lorsque le responsable de la firme où il devait travailler lui a dit de signer un contrat pour 900 riyals/mois (135.000 cfa).
Il dit être revenu au bercail parce que Dia aurait abusé de sa confiance. D'où sa plainte dans laquelle il demande le remboursement sans condition de son argent.
Affaire à suivre d'autant que le bras de fer continue aux dernières nouvelles...