Face aux menaces de grève des syndicats de la Santé pour « terrorisme et populisme » de leur tutelle, le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr a affiché sa disponibilité à échanger avec ces derniers pour trouver une solution à leurs doléances. Il a fait cette annonce hier mardi 14 novembre lors du pré-forum national pour le financement de la santé.
« Nous comptons naturellement faire ce que nous avons toujours fait. C’est à dire ouvrir nos portes, échanger, en sachant que le management c’est la participation permanente de tous les acteurs. C’est l’échange, ce n’est pas la porte fermée, c’est la porte ouverte. Et nous ne considérons pas cela comme une menace. Nous la considérons comme une contribution à des échanges qui doivent être permanents pour faire avancer notre pays », a dit Diouf Sarr.