Le doute n’est plus permis : le Sénégal roule sur des autoroutes de la galère. C’est, du moins, le croquis dressé par le journal Le Quotidien. En effet, dans sa livraison du jour, le canard de Madiambal Diagne, qui revient sur la visite des chantiers de l’Aéroport international Blaise Diagne Mbour-Thiès et IlaaTouba, plonge ses lecteurs dans le mal-vivre des travailleurs.
Lesquels travailleurs ont exigé de meilleures conditions à la délégation de députés conduite par le Président du Groupe parlementaire de « Benno Bokk Yakaar ». Ce, de la part de l’entreprise chinoise, China road and bridge corporation (Crbc), bénéficiaire du contrat commercial pour le financement et la construction de l’Autoroute Thiès-Ila-Touba.
La grogne des travailleurs est d’autant plus persistante que, selon le journal, « le salaire de base des travailleurs de l’Autoroute à péage Ilaa Touba est à 76 mille F Cfa pour les chauffeurs et conducteurs d’engins, alors que nous travaillons 7j/7, de 7h à 18h 30 », pestent les employés. Bref, selon eux, ils sont l’objet d’esclavagisme. Ni plus, ni moins !
Actusen
Lesquels travailleurs ont exigé de meilleures conditions à la délégation de députés conduite par le Président du Groupe parlementaire de « Benno Bokk Yakaar ». Ce, de la part de l’entreprise chinoise, China road and bridge corporation (Crbc), bénéficiaire du contrat commercial pour le financement et la construction de l’Autoroute Thiès-Ila-Touba.
La grogne des travailleurs est d’autant plus persistante que, selon le journal, « le salaire de base des travailleurs de l’Autoroute à péage Ilaa Touba est à 76 mille F Cfa pour les chauffeurs et conducteurs d’engins, alors que nous travaillons 7j/7, de 7h à 18h 30 », pestent les employés. Bref, selon eux, ils sont l’objet d’esclavagisme. Ni plus, ni moins !
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