Le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a condamné « avec fermeté » lundi le saccage des locaux du quotidien « Les Echos ».
Le siège de ce journal a été attaqué lundi par des individus non identifiés, rapportent plusieurs médias.
« Les ordinateurs de la salle de rédaction et les machines de la salle de montage ont été détruits par les agresseurs. Le préjudice pourrait s’élever à plusieurs dizaines de millions. Heureusement, aucun dommage physique n’a été déploré pour le vigile, seul présent à la rédaction », indique le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane, dans une déclaration transmise à l’APS.
Le CDEPS parle d’une « agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal Les Echos, à ses travailleurs et à sa direction ».
« À chaque fois qu’il y a agression contre les journalistes, les auteurs de ces barbaries refusent en fait à la presse le droit d’informer. La presse est intimidée pour ne pas exercer sa liberté d’informer. C’est là une menace récurrente et permanente pour la liberté de presse », peut-on encore lire dans la déclaration.
Le CDEPS constate que « c’est la énième agression contre les journalistes après la station RFM de Mbacké, le Directeur de publication de Waa Grand-Place, la 7TV… ».
« Aucun des agresseurs n’a jamais été pris et il règne une sorte d’impunité d’auteurs de violences contre les journalistes et les maisons de presse. Les forces de sécurité sont restées muettes sur les auteurs de ces agressions contre la liberté de presse. Aucun des forfaits commis contre la liberté de presse n’a aussi fait l’objet de poursuites devant les tribunaux », regrette-t-il.
Il rappelle que « l’État a le devoir de protéger les journalistes et les maisons de presse » et « en appelle encore au ministre de l’Intérieur, au Gouvernement et au Président de la République pour la protection des journalistes ».
« La seule condamnation de ces actes ignobles ne suffit plus. Tous les acteurs de la presse et les citoyens doivent se mobiliser pour défendre la liberté de presse menacée au Sénégal », encourage le CDEPS.
APS
Le siège de ce journal a été attaqué lundi par des individus non identifiés, rapportent plusieurs médias.
« Les ordinateurs de la salle de rédaction et les machines de la salle de montage ont été détruits par les agresseurs. Le préjudice pourrait s’élever à plusieurs dizaines de millions. Heureusement, aucun dommage physique n’a été déploré pour le vigile, seul présent à la rédaction », indique le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane, dans une déclaration transmise à l’APS.
Le CDEPS parle d’une « agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal Les Echos, à ses travailleurs et à sa direction ».
« À chaque fois qu’il y a agression contre les journalistes, les auteurs de ces barbaries refusent en fait à la presse le droit d’informer. La presse est intimidée pour ne pas exercer sa liberté d’informer. C’est là une menace récurrente et permanente pour la liberté de presse », peut-on encore lire dans la déclaration.
Le CDEPS constate que « c’est la énième agression contre les journalistes après la station RFM de Mbacké, le Directeur de publication de Waa Grand-Place, la 7TV… ».
« Aucun des agresseurs n’a jamais été pris et il règne une sorte d’impunité d’auteurs de violences contre les journalistes et les maisons de presse. Les forces de sécurité sont restées muettes sur les auteurs de ces agressions contre la liberté de presse. Aucun des forfaits commis contre la liberté de presse n’a aussi fait l’objet de poursuites devant les tribunaux », regrette-t-il.
Il rappelle que « l’État a le devoir de protéger les journalistes et les maisons de presse » et « en appelle encore au ministre de l’Intérieur, au Gouvernement et au Président de la République pour la protection des journalistes ».
« La seule condamnation de ces actes ignobles ne suffit plus. Tous les acteurs de la presse et les citoyens doivent se mobiliser pour défendre la liberté de presse menacée au Sénégal », encourage le CDEPS.
APS