L'Homme, qui a blanchi sous le harnais du Parti Socialiste a pratiquement gravi bien des échelons dans les rangs des "verts" avant de tenir les manettes de la mairie de Dakar.
Khalifa Ababacar Sall, pour ne pas le nommer, vient de souffler sur ses soixante ans. C'était autrefois le bout de la vie, disait un grand penseur. Soixante ans, c'est désormais une étape de la vie, celle peut-être de la plénitude professionnelle et familiale.
D’après la fameuse liste de pressafrik publiée dans un langage parabolique, Khalifa Sall lui-même, l’actuel maire de Dakar, dont on sait au moins qu’il présente de bonnes dispositions en matière d’éthique et de transparence, aurait bénéficié du partage de ce pactole sale.
Ce qui paraît particulièrement étonnant, c’est le mutisme que ces différentes personnalités éclaboussées continuent d’afficher à l’heure où les échos du scandale connaissent une résonance planétaire et où leurs noms prennent une place de plus en plus inconfortable dans son développement.
Selon nos confrères de l'Obs, une importante déclaration de l'édile de la ville de Dakar est attendue le 9 Janvier prochain. Des proches de Khalifa Sall câblés par dakarposte.com croient savoir qu'il s'agira juste d'une réunion ordinaire et que ces retrouvailles entre leur mentor et ses lieutenants n'aurait rien d'extraordinaire. Ce que battent en brèche d'autres canaux de dakarposte; qui confirment l'Obs.
A les en croire, Khalifa prépare quelque chose. Quoi au juste? Mystère et boule de gomme! Du moins, pour le moment!
On sait en tout cas que le mouvement dénommé " Taxawu Jotna", porté sur les fonts baptismaux à Dakar et qui regroupe plus de 10 mille adhérents, selon ses initiateurs, entend porter la candidature de Khalifa Sall.
En effet, de l’avis de son coordinateur, Boubacar Diouara, l’objectif est de porter la candidature du maire de Dakar à la prochaine élection présidentielle, comme l’a déjà fait le mouvement "And Doolel Khalifa".
Seulement, Khalifa Sall gagnerait, pendant qu'il est encore temps de se prononcer sur cette affaire Lamine Diack, qui n’en finit pas de faire des vagues et qui cache des marées hautes et des marées basses. Qui, comme dakarposte le disait, une fois qu’elles se seront définitivement dévoilées, pourraient aboutir à l’implosion de notre cohésion sociale et politique trop fragile par ces temps qui courent.
Le mutisme assourdissant de quelques personnalités notables citées nommément ou à la cantonade, notamment Khalifa Sall "himself" figure en bonne place dans le dispositif de cette bombe à retardement.
Bref, Khalifa Sall lui-même, l’actuel maire de Dakar, dont on sait au moins qu’il présente de bonnes dispositions en matière d’éthique et de transparence, ferait mieux d'édifier l'opinion sur le partage de ce pactole sale du "Diack gate" (ndlr: affaire Lamine Diack).
Qu'il le sache ou pas, son nom revient sans cesse parmi d'autres supposés bénéficiaires du "Diack gate" dans les discussions dans les salons huppés et autres milieux sélects.
Sa mise au point sur cette ignominieuse affaire de sous serait se rendre service "himself", mais également mettre à l'aise cette masse de militants, parents, amis, proches, sympathisants. Qui n'a d'yeux et d'oreilles que pour lui et qui entend le porter à bout de bras lors des prochaines mais décisives échéances électorales.
En tous les cas, en sus du maire de Dakar, ce qui paraît particulièrement étonnant, c’est le mutisme que ces différentes personnalités éclaboussées continuent d’afficher à l’heure où les échos du scandale connaissent une résonance planétaire et où leurs noms prennent une place de plus en plus inconfortable dans son développement.
Khalifa Ababacar Sall, pour ne pas le nommer, vient de souffler sur ses soixante ans. C'était autrefois le bout de la vie, disait un grand penseur. Soixante ans, c'est désormais une étape de la vie, celle peut-être de la plénitude professionnelle et familiale.
D’après la fameuse liste de pressafrik publiée dans un langage parabolique, Khalifa Sall lui-même, l’actuel maire de Dakar, dont on sait au moins qu’il présente de bonnes dispositions en matière d’éthique et de transparence, aurait bénéficié du partage de ce pactole sale.
Ce qui paraît particulièrement étonnant, c’est le mutisme que ces différentes personnalités éclaboussées continuent d’afficher à l’heure où les échos du scandale connaissent une résonance planétaire et où leurs noms prennent une place de plus en plus inconfortable dans son développement.
Selon nos confrères de l'Obs, une importante déclaration de l'édile de la ville de Dakar est attendue le 9 Janvier prochain. Des proches de Khalifa Sall câblés par dakarposte.com croient savoir qu'il s'agira juste d'une réunion ordinaire et que ces retrouvailles entre leur mentor et ses lieutenants n'aurait rien d'extraordinaire. Ce que battent en brèche d'autres canaux de dakarposte; qui confirment l'Obs.
A les en croire, Khalifa prépare quelque chose. Quoi au juste? Mystère et boule de gomme! Du moins, pour le moment!
On sait en tout cas que le mouvement dénommé " Taxawu Jotna", porté sur les fonts baptismaux à Dakar et qui regroupe plus de 10 mille adhérents, selon ses initiateurs, entend porter la candidature de Khalifa Sall.
En effet, de l’avis de son coordinateur, Boubacar Diouara, l’objectif est de porter la candidature du maire de Dakar à la prochaine élection présidentielle, comme l’a déjà fait le mouvement "And Doolel Khalifa".
Seulement, Khalifa Sall gagnerait, pendant qu'il est encore temps de se prononcer sur cette affaire Lamine Diack, qui n’en finit pas de faire des vagues et qui cache des marées hautes et des marées basses. Qui, comme dakarposte le disait, une fois qu’elles se seront définitivement dévoilées, pourraient aboutir à l’implosion de notre cohésion sociale et politique trop fragile par ces temps qui courent.
Le mutisme assourdissant de quelques personnalités notables citées nommément ou à la cantonade, notamment Khalifa Sall "himself" figure en bonne place dans le dispositif de cette bombe à retardement.
Bref, Khalifa Sall lui-même, l’actuel maire de Dakar, dont on sait au moins qu’il présente de bonnes dispositions en matière d’éthique et de transparence, ferait mieux d'édifier l'opinion sur le partage de ce pactole sale du "Diack gate" (ndlr: affaire Lamine Diack).
Qu'il le sache ou pas, son nom revient sans cesse parmi d'autres supposés bénéficiaires du "Diack gate" dans les discussions dans les salons huppés et autres milieux sélects.
Sa mise au point sur cette ignominieuse affaire de sous serait se rendre service "himself", mais également mettre à l'aise cette masse de militants, parents, amis, proches, sympathisants. Qui n'a d'yeux et d'oreilles que pour lui et qui entend le porter à bout de bras lors des prochaines mais décisives échéances électorales.
En tous les cas, en sus du maire de Dakar, ce qui paraît particulièrement étonnant, c’est le mutisme que ces différentes personnalités éclaboussées continuent d’afficher à l’heure où les échos du scandale connaissent une résonance planétaire et où leurs noms prennent une place de plus en plus inconfortable dans son développement.