SON IMPACT DANS LE JEU : LONGTEMPS TROP NEUTRE
Pendant une grosse heure, on a revu le Kylian Mbappé de l'Euro, ou en tout cas une version qui s'en rapprochait, ce qui n'était pas franchement bon signe. L'ancien Monégasque est venu chercher plusieurs ballons, dont les premiers, très bas (2e, 3e, 41e), n'a pas toujours été heureux dans ses remises (43e), ni sur ses premiers frappes, contrée (15e) ou largement hors cadre (46e).
Sans surprise, il n'a pas pesé lorsque Thibaut Courtois a tenté d'allonger le jeu sur lui. Ses quelques pertes de balles ont longtemps dessiné une prestation frustrante (25e, 59e, 64e). Il est par ailleurs le titulaire madrilène à avoir le moins touché le ballon, gardien compris (43). Il termine avec trois tirs, deux dribbles réussis et trois fautes subies.
SA PLACE : TOUJOURS L'ÉQUIPE DE VINICIUS ET BELLINGHAM
Numéro 9 sur le dos, Mbappé a démarré en pointe d'un 4-3-3, avec Vinicius sur sa gauche et Rodrygo sur sa droite. Mais le Français a beaucoup permuté avec ses deux coéquipiers, en glissant plutôt à droite par séquences en première période, puis quelques fois à gauche après la reprise. Au premier abord, c'est son affinité technique avec Vinicius qui a sauté aux yeux. Le Brésilien, dont le couloir gauche reste la chasse gardée, l'a parfaitement servi d'entrée de match (5e), et les deux joueurs semblent se comprendre.
Les échanges avec Rodrygo et Bellingham furent d'abord plus rares, mais on a vu le Français servir le premier pour une belle occasion (74e), et hériter d'une passe décisive du second (68e). Rodrygo fut le premier membre du trio offensif à sortir (76e), mais Mbappé a suivi (83e), remplacé par Brahim Diaz. Avant Vinicius (88e).
C'est bien ce dernier qui a toujours les clés du camion, accompagné d'un Bellingham qui est monté en puissance dans ce match, et qui a le plus pesé sur la défense italienne, à l'image de sa passe décisive sur le premier but. Avec ces joueurs à ses côtés, Mbappé va probablement devoir se concentrer sur la surface et la finition. D'autres, plus armés, sont là pour faire le jeu.
SON BUT : PERSÉVÉRANCE ET SENS DU PLACEMENT
On joue la 68e minute de jeu, le Real mène 1-0 dans cette finale. Rodrygo récupère un ballon très haut dans les pieds d'Isak Hien et lance Vinicius. Le Brésilien a de l'espace devant lui, Mbappé aussi, et le Français fait l'appel dans la surface, mais le centre de son coéquipier est trop long. Qu'importe, le ballon arrive jusque dans les pieds de Bellingham et l'ex-Parisien décroche pour réclamer le ballon dans les pieds avant de faire l'appel parfait entre deux défenseurs. La passe de l'Anglais est impeccable, la finition aussi, avec une frappe du droit dans un petit espace qui termine en lucarne.
Pendant une grosse heure, on a revu le Kylian Mbappé de l'Euro, ou en tout cas une version qui s'en rapprochait, ce qui n'était pas franchement bon signe. L'ancien Monégasque est venu chercher plusieurs ballons, dont les premiers, très bas (2e, 3e, 41e), n'a pas toujours été heureux dans ses remises (43e), ni sur ses premiers frappes, contrée (15e) ou largement hors cadre (46e).
Sans surprise, il n'a pas pesé lorsque Thibaut Courtois a tenté d'allonger le jeu sur lui. Ses quelques pertes de balles ont longtemps dessiné une prestation frustrante (25e, 59e, 64e). Il est par ailleurs le titulaire madrilène à avoir le moins touché le ballon, gardien compris (43). Il termine avec trois tirs, deux dribbles réussis et trois fautes subies.
SA PLACE : TOUJOURS L'ÉQUIPE DE VINICIUS ET BELLINGHAM
Numéro 9 sur le dos, Mbappé a démarré en pointe d'un 4-3-3, avec Vinicius sur sa gauche et Rodrygo sur sa droite. Mais le Français a beaucoup permuté avec ses deux coéquipiers, en glissant plutôt à droite par séquences en première période, puis quelques fois à gauche après la reprise. Au premier abord, c'est son affinité technique avec Vinicius qui a sauté aux yeux. Le Brésilien, dont le couloir gauche reste la chasse gardée, l'a parfaitement servi d'entrée de match (5e), et les deux joueurs semblent se comprendre.
Les échanges avec Rodrygo et Bellingham furent d'abord plus rares, mais on a vu le Français servir le premier pour une belle occasion (74e), et hériter d'une passe décisive du second (68e). Rodrygo fut le premier membre du trio offensif à sortir (76e), mais Mbappé a suivi (83e), remplacé par Brahim Diaz. Avant Vinicius (88e).
C'est bien ce dernier qui a toujours les clés du camion, accompagné d'un Bellingham qui est monté en puissance dans ce match, et qui a le plus pesé sur la défense italienne, à l'image de sa passe décisive sur le premier but. Avec ces joueurs à ses côtés, Mbappé va probablement devoir se concentrer sur la surface et la finition. D'autres, plus armés, sont là pour faire le jeu.
SON BUT : PERSÉVÉRANCE ET SENS DU PLACEMENT
On joue la 68e minute de jeu, le Real mène 1-0 dans cette finale. Rodrygo récupère un ballon très haut dans les pieds d'Isak Hien et lance Vinicius. Le Brésilien a de l'espace devant lui, Mbappé aussi, et le Français fait l'appel dans la surface, mais le centre de son coéquipier est trop long. Qu'importe, le ballon arrive jusque dans les pieds de Bellingham et l'ex-Parisien décroche pour réclamer le ballon dans les pieds avant de faire l'appel parfait entre deux défenseurs. La passe de l'Anglais est impeccable, la finition aussi, avec une frappe du droit dans un petit espace qui termine en lucarne.