Dans un contexte de tensions internationales exacerbées par le conflit israélo-palestinien, le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, s’est adressé à la nation lors d’une manifestation organisée par l’Alliance pour la Défense des Droits du Peuple Palestinien. Cet événement, tenu sous la direction du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a mis en lumière la position ferme du Sénégal sur cette question sensible.
Dans son discours, Ousmane Sonko a d’abord rappelé l’héritage de soutien inébranlable du Sénégal envers le peuple palestinien. « Beaucoup d’initiatives ont été prises par les régimes qui se sont succédé sur cette question. Ce régime continue cette tradition », a-t-il souligné, insistant sur le fait que ce soutien va au-delà des simples déclarations pour se traduire par des actions concrètes sur le terrain.
Le Premier ministre a mis en avant l’importance de l’engagement du Sénégal aux côtés de la Palestine, non seulement pour des raisons religieuses mais aussi pour des considérations humanitaires. « Nous partageons cette religion avec la Palestine », a-t-il déclaré, tout en rappelant que le problème ne se limite pas à la sphère religieuse mais est également une question de droits humains fondamentaux.
Ousmane Sonko a ensuite abordé la dimension politique du conflit, affirmant que « la dimension politique est extrêmement importante ». Selon lui, il est crucial pour les nations, en particulier celles du continent africain, de prendre des mesures concrètes pour soutenir la Palestine. « Des milliers de personnes ont manifesté contre l’extermination du peuple palestinien. Cela interpelle notre conscience », a-t-il ajouté.
Sonko a dénoncé l’hypocrisie de la communauté internationale, soulignant que « nous sommes dans un monde particulièrement hypocrite. Un monde où les principes qu’on nous vend n’engage que ceux qui y croient ». Il a appelé les Sénégalais à transcender leurs différences politiques internes pour se concentrer sur des enjeux globaux plus larges, tel que le soutien aux Palestiniens.
Ousmane Sonko a réitéré, au nom du président de la République, la douleur et la peine ressenties par le Sénégal face à la souffrance du peuple palestinien. Il a exhorté la communauté musulmane, et au-delà, l’ensemble des nations, à adopter une approche plus politique pour mettre fin aux violences et injustices infligées aux Palestiniens. « Si la CPI a pu condamner le Premier ministre israélien, c’est parce que l’Afrique du Sud a fait ce que nous, en tant que musulmans, devons faire », a-t-il affirmé. « Il nous faut nous unir pour arrêter cette barbarie humaine », a-t-il conclu avec force.
Rts
Dans son discours, Ousmane Sonko a d’abord rappelé l’héritage de soutien inébranlable du Sénégal envers le peuple palestinien. « Beaucoup d’initiatives ont été prises par les régimes qui se sont succédé sur cette question. Ce régime continue cette tradition », a-t-il souligné, insistant sur le fait que ce soutien va au-delà des simples déclarations pour se traduire par des actions concrètes sur le terrain.
Le Premier ministre a mis en avant l’importance de l’engagement du Sénégal aux côtés de la Palestine, non seulement pour des raisons religieuses mais aussi pour des considérations humanitaires. « Nous partageons cette religion avec la Palestine », a-t-il déclaré, tout en rappelant que le problème ne se limite pas à la sphère religieuse mais est également une question de droits humains fondamentaux.
Ousmane Sonko a ensuite abordé la dimension politique du conflit, affirmant que « la dimension politique est extrêmement importante ». Selon lui, il est crucial pour les nations, en particulier celles du continent africain, de prendre des mesures concrètes pour soutenir la Palestine. « Des milliers de personnes ont manifesté contre l’extermination du peuple palestinien. Cela interpelle notre conscience », a-t-il ajouté.
Sonko a dénoncé l’hypocrisie de la communauté internationale, soulignant que « nous sommes dans un monde particulièrement hypocrite. Un monde où les principes qu’on nous vend n’engage que ceux qui y croient ». Il a appelé les Sénégalais à transcender leurs différences politiques internes pour se concentrer sur des enjeux globaux plus larges, tel que le soutien aux Palestiniens.
Ousmane Sonko a réitéré, au nom du président de la République, la douleur et la peine ressenties par le Sénégal face à la souffrance du peuple palestinien. Il a exhorté la communauté musulmane, et au-delà, l’ensemble des nations, à adopter une approche plus politique pour mettre fin aux violences et injustices infligées aux Palestiniens. « Si la CPI a pu condamner le Premier ministre israélien, c’est parce que l’Afrique du Sud a fait ce que nous, en tant que musulmans, devons faire », a-t-il affirmé. « Il nous faut nous unir pour arrêter cette barbarie humaine », a-t-il conclu avec force.
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