Faisons d'abord un petit rappel assez important. Il y'a de cela quelques jours, l'actuel Secrétaire d’Etat chargé du Suivi du Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc) a plaidé la libération de Karim Wade, condamné à 6 ans de prison.
Invité de l’émission "En Aparté" sur Actusen.com, Souleymane Jules Diop estime que l’heure est venue d’accorder le pardon à l’ancien ministre d’Etat sous Abdoulaye Wade.
Et le Secrétaire d'Etat se dit prêt à jouer les bons offices pour rapprocher les deux positions. Par extension, il invite toute la classe politique sénégalaise à faire preuve de dépassement et renouer le fil du dialogue.
Cette déclaration somme toute inattendue mais qui n'est pas accidentelle s'ajoute aux innombrables plaidoiries, autrement dit à cette cascade de déclarations de bons offices par exemple celle de Me Elhaj Diouf et/ou du bien nommé Serigne Basse Abdou Khadre, connu comme le seul habilité à parler au nom et pour le compte du khalif général des mourides.
Et, soit dit en passant, le régime qui n'a pas eu l'effet escompté lors du scrutin référendaire à Touba est donc tenu de donner encore des gages notamment de pacification des relations politiques au khalif,mais également aux innombrables religieux de la capitale du mouridisme. Ce, avant d'aborder la "mère des batailles",c'est à dire les décisives élections législatives de 2017.
Les trois recours qui s'offrent pour Wade fils
Les sources de dakarposte nous soufflent une éventualité, c'est à dire que Bibo et Diassé ont été repris parce que c'est le même dossier qui pourrait-être vidé contre toute attente.
De nos recoupements, un des avocats de Wade fils, sous le sceau de l'anonymat, soutient qu'il n'est pas au courant de ses négociations en coulisses, mais soutient: "effectivement, des bonnes volontés se sont jusqu'ici évertuées à jouer la médiation, mais ça tarde à se concrétiser". A l'en croire, "rien de neuf sous le soleil".
Cela dit, quoi que l'ancien ministre du "Ciel et de la terre" (comme on surnommait Karim Wade) a de tout temps soutenu mordicus, par l'entremise de ses proches, et autres conseillers juridiques qu'il n'est pas demandeur d'une grâce, dakarposte est en mesure de révéler qu'il peut faire l'objet d'une grâce Présidentielle. Autrement dit, le Pr Macky Sall a le pouvoir discrétionnaire de le gracier à tout moment et du coup, Karim est tenu de vider la prison de gré ou de force. Aussi, Karim Wade et Co, c'est à dire ses co-détenus peuvent-ils bénéficier d'une mise en liberté conditionnelle ou d'une loi d'amnistie.
Nos "radars oiseaux de nuit", éveillés que sous le ciel étoilé de Dakar avant de s'abandonner au repos le jour, continuent de "creuser" et promettent d'y revenir amplement !
Invité de l’émission "En Aparté" sur Actusen.com, Souleymane Jules Diop estime que l’heure est venue d’accorder le pardon à l’ancien ministre d’Etat sous Abdoulaye Wade.
Et le Secrétaire d'Etat se dit prêt à jouer les bons offices pour rapprocher les deux positions. Par extension, il invite toute la classe politique sénégalaise à faire preuve de dépassement et renouer le fil du dialogue.
Cette déclaration somme toute inattendue mais qui n'est pas accidentelle s'ajoute aux innombrables plaidoiries, autrement dit à cette cascade de déclarations de bons offices par exemple celle de Me Elhaj Diouf et/ou du bien nommé Serigne Basse Abdou Khadre, connu comme le seul habilité à parler au nom et pour le compte du khalif général des mourides.
Et, soit dit en passant, le régime qui n'a pas eu l'effet escompté lors du scrutin référendaire à Touba est donc tenu de donner encore des gages notamment de pacification des relations politiques au khalif,mais également aux innombrables religieux de la capitale du mouridisme. Ce, avant d'aborder la "mère des batailles",c'est à dire les décisives élections législatives de 2017.
Les trois recours qui s'offrent pour Wade fils
Les sources de dakarposte nous soufflent une éventualité, c'est à dire que Bibo et Diassé ont été repris parce que c'est le même dossier qui pourrait-être vidé contre toute attente.
De nos recoupements, un des avocats de Wade fils, sous le sceau de l'anonymat, soutient qu'il n'est pas au courant de ses négociations en coulisses, mais soutient: "effectivement, des bonnes volontés se sont jusqu'ici évertuées à jouer la médiation, mais ça tarde à se concrétiser". A l'en croire, "rien de neuf sous le soleil".
Cela dit, quoi que l'ancien ministre du "Ciel et de la terre" (comme on surnommait Karim Wade) a de tout temps soutenu mordicus, par l'entremise de ses proches, et autres conseillers juridiques qu'il n'est pas demandeur d'une grâce, dakarposte est en mesure de révéler qu'il peut faire l'objet d'une grâce Présidentielle. Autrement dit, le Pr Macky Sall a le pouvoir discrétionnaire de le gracier à tout moment et du coup, Karim est tenu de vider la prison de gré ou de force. Aussi, Karim Wade et Co, c'est à dire ses co-détenus peuvent-ils bénéficier d'une mise en liberté conditionnelle ou d'une loi d'amnistie.
Nos "radars oiseaux de nuit", éveillés que sous le ciel étoilé de Dakar avant de s'abandonner au repos le jour, continuent de "creuser" et promettent d'y revenir amplement !