Après le référendum qui a consacré la victoire du « Oui », le Président de la République, Macky Sall, a promulgué la loi constitutionnelle n° 2016-10 du 5 avril 2016 portant révision constitutionnelle. Il a pris un décret dans ce sens le 5 avril dernier, informe « Libération ».
Tous les points qu’il voulait insérer dans la Constitution sont ainsi pris en charge. On note ainsi que les institutions de la République sont « le Président de la République, l’Assemblée nationale, le gouvernement, le Haut conseil des collectivités territoriales, le Conseil économique, social et environnemental, le Conseil constitutionnel, la Cour suprême, la Cour des comptes et les cours et tribunaux ».
Aussi, « la durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Tout candidat à la Présidence de la République doit être exclusivement de nationalité sénégalaise, jouir de ses droits civils et politiques, être âgé de 35 ans au moins et 75 ans au plus le jour du scrutin. Il doit savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle ». D’autres changements comme le statut de l’opposition sont également intervenus dans la nouvelle constitution.
Tous les points qu’il voulait insérer dans la Constitution sont ainsi pris en charge. On note ainsi que les institutions de la République sont « le Président de la République, l’Assemblée nationale, le gouvernement, le Haut conseil des collectivités territoriales, le Conseil économique, social et environnemental, le Conseil constitutionnel, la Cour suprême, la Cour des comptes et les cours et tribunaux ».
Aussi, « la durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. Tout candidat à la Présidence de la République doit être exclusivement de nationalité sénégalaise, jouir de ses droits civils et politiques, être âgé de 35 ans au moins et 75 ans au plus le jour du scrutin. Il doit savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle ». D’autres changements comme le statut de l’opposition sont également intervenus dans la nouvelle constitution.