La traque aux biens mal acquis, on en parle. Depuis que les avocats de l’Etat ayant défendu le dossier réclament leurs honoraires, l’affaire refait surface. Comme au bon vieux temps.
Après les sorties du Chef de l’Etat, Macky Sall qui trouve les sommes réclamées “exorbitantes” et Me Abdoulaye Wade qui appelle la justice à les (avocats) “traquer” pour “tentative d’extorsion de fonds et enrichissement illicite”, Libération plonge ses lecteurs dans ce nouveau feuilleton.
En effet, à en croire nos confrères, l’affaire ressemble plus à un “scandale” qu’à toute autre chose. Car, jusqu’à présent, personne ne peut dire avec exactitude, qui a signé cet engagement qui leur octroie 2% des sommes recouvrées dans cette affaire. Mimi Touré, ancienne Garde des Sceaux et Ministre de la justice (au moment des faits), pourrait répondre à cette question. Elle qui a déclenché la traque aux biens mal acquis.
Pis, nos confrères de Mermoz révèlent en reprenant les paroles d’un juge sous le sceau de l’anonymat, que les avocats de l’Etat devraient faire profile bas dans la mesure où tout le temps qu’a duré le procès, ils n’ont jamais été présents aux auditions la Commission d’instruction. Brillant parfois par leur absence, ils ont plutôt, rapporte Libération, plaidé dans la presse que devant le prétoire.
Actusen
Après les sorties du Chef de l’Etat, Macky Sall qui trouve les sommes réclamées “exorbitantes” et Me Abdoulaye Wade qui appelle la justice à les (avocats) “traquer” pour “tentative d’extorsion de fonds et enrichissement illicite”, Libération plonge ses lecteurs dans ce nouveau feuilleton.
En effet, à en croire nos confrères, l’affaire ressemble plus à un “scandale” qu’à toute autre chose. Car, jusqu’à présent, personne ne peut dire avec exactitude, qui a signé cet engagement qui leur octroie 2% des sommes recouvrées dans cette affaire. Mimi Touré, ancienne Garde des Sceaux et Ministre de la justice (au moment des faits), pourrait répondre à cette question. Elle qui a déclenché la traque aux biens mal acquis.
Pis, nos confrères de Mermoz révèlent en reprenant les paroles d’un juge sous le sceau de l’anonymat, que les avocats de l’Etat devraient faire profile bas dans la mesure où tout le temps qu’a duré le procès, ils n’ont jamais été présents aux auditions la Commission d’instruction. Brillant parfois par leur absence, ils ont plutôt, rapporte Libération, plaidé dans la presse que devant le prétoire.
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