Le Syndicat Autonome des Enseignements du Supérieur (SAES) va sortir les griffes dès le mois de janvier si toutefois leur requête n'est pas prise en compte. Malick Fall, secrétaire général du SAES exige au président de la République d'accorder la même faveur de prorogation à 68 ans de l'âge à la retraite des magistrats.
Après deux jours de grèves d'avertissement, le Syndicat Autonome des Enseignements du Supérieur veut durcir le ton dès le mois prochain. En effet selon des informations rapportées par l'AS, le secrétaire général du SAES aurait prévenu que le combat sera âpre parce que les enseignants du supérieur sont plus que déterminés pour la réparation "de l'injustice" sur la retraite des universitaires. Alors qu'ils se battent pour la correction de la réforme universitaire qui rétrograde les professeurs titulaires, le gouvernement en rajoute une couche. Pour le secrétaire général du SAES, les universitaires sont victimes d'une double injustice. Il affirme, ne pas comprendre que le président Macky SALL proroge l'âge de la retraite du 1er magistrat de la Cour suprême, les premiers présidents des cours d'Appel, les procureurs généraux desdites cours à 68 ans ; alors qu'il a rejeté la requête des universitaires. "Le président de la République a prorogé l'âge à la retraite de certains magistrats de 65 à 68 ans alors qu'il a refusé cela aux enseignants du Supérieur. Pourtant le corps des enseignants du Supérieur, des magistrats et des Inspecteurs Généraux d'Etat sont de la hiérarchie A1 spéciale. Ce sont des formes d'injustice qui vont rendre la situation difficile", dénonce Malick Fall.
A l'en croire, cette discrimination ne favorise pas la paix sociale. "Le bureau national du SAES a fait des tournées dans le différentes dans les différentes universités et organisé une réunion du bureau élargie aux secrétaires généraux des sections continue de faire la sourde oreille, nous avions décrété 48h (mercredi-jeudi) en guise d'avertissement", a laissé entendre M. Fall qui a ensuite annoncé le dépôt d'un préavis de grève dès la semaine prochaine pour réchauffer un peu le front social dès le mois de janvier, si le gouvernement ne trouve pas une solution adéquate au problème.
Après deux jours de grèves d'avertissement, le Syndicat Autonome des Enseignements du Supérieur veut durcir le ton dès le mois prochain. En effet selon des informations rapportées par l'AS, le secrétaire général du SAES aurait prévenu que le combat sera âpre parce que les enseignants du supérieur sont plus que déterminés pour la réparation "de l'injustice" sur la retraite des universitaires. Alors qu'ils se battent pour la correction de la réforme universitaire qui rétrograde les professeurs titulaires, le gouvernement en rajoute une couche. Pour le secrétaire général du SAES, les universitaires sont victimes d'une double injustice. Il affirme, ne pas comprendre que le président Macky SALL proroge l'âge de la retraite du 1er magistrat de la Cour suprême, les premiers présidents des cours d'Appel, les procureurs généraux desdites cours à 68 ans ; alors qu'il a rejeté la requête des universitaires. "Le président de la République a prorogé l'âge à la retraite de certains magistrats de 65 à 68 ans alors qu'il a refusé cela aux enseignants du Supérieur. Pourtant le corps des enseignants du Supérieur, des magistrats et des Inspecteurs Généraux d'Etat sont de la hiérarchie A1 spéciale. Ce sont des formes d'injustice qui vont rendre la situation difficile", dénonce Malick Fall.
A l'en croire, cette discrimination ne favorise pas la paix sociale. "Le bureau national du SAES a fait des tournées dans le différentes dans les différentes universités et organisé une réunion du bureau élargie aux secrétaires généraux des sections continue de faire la sourde oreille, nous avions décrété 48h (mercredi-jeudi) en guise d'avertissement", a laissé entendre M. Fall qui a ensuite annoncé le dépôt d'un préavis de grève dès la semaine prochaine pour réchauffer un peu le front social dès le mois de janvier, si le gouvernement ne trouve pas une solution adéquate au problème.