L’Agence de régulation des télécommunications l’Artp a entamé, avec la complicité des applications concernées comme Facebook, une réflexion, ce mardi, à Dakar, afin de trouver les voies et moyens d’obvier les effets néfastes des réseaux sociaux.
Une initiative qui fait suite aux affaires Penda Bâ, Amy Collé Dieng, Ouléye Mané et aujourd’hui Assane Diouf qui doit être rapatrié ce mercredi à Dakar.
Il s’ agit, pour les instigateurs, de travailler à sensibiliser les Sénégalais sur le danger que constituent les réseaux sociaux surtout si l’usage qui en est fait n’est pas approprié.
Il ne s’agit nullement alors d’interdiction ce qui serait du reste impossible. Car, si cela avait été le cas, il y a longtemps que le monde occidental aurait annihilé l’ingénieux travail de communication de Daech ce groupe terroriste qui se fait appeler État Islamique dont l’essentiel du travail est de choquer par des images comme la décapitation de prisonniers et surtout de recruter en séduisant les jeunesses de ces pays.
Le Sénégal comme tous les autres États ne peut pas rester les bras croisés face à un phénomène qui prend de l’ampleur, mais force est de reconnaître que nous avons réagi trop tard et dans un contexte inapproprié.
Précisons que depuis longtemps, des Sénégalais utilisent la toile en tenues de terroristes pour professer des menaces contre des musulmans et surtout contre les confréries religieuses de notre pays.
C’était un moment idéal pour réagir et on n’avait rien fait.
Il fallait attendre qu’un bonhomme sorti de nulle part arrangue les foules par ses messages incendiaires et injurieux à l’endroit des hautes autorités de ce pays pour qu’il y ait de pareilles initiatives alors qu’il fallait les multiplier depuis longtemps à l’endroit des jeunes, les plus visés et les plus vulnérables.
Malheureusement, les Sénégalais comme les autres citoyens de État virtuel qui est le monde se sont appropriés cet outil depuis un bon moment. Du coup, le phénomène Assane Diouf n’en est qu’à ses débuts même si la personne de Assane Diouf peut être neutralisée par une procédure judiciaire somme toute compréhensible.
Ce dernier qui s’est fait remplacé sur la toile par son épouse américaine, continue à séduire au point qu’il sera difficile, par une réflexion bien tardive, de renverser la tendance.
Assane Samb
Une initiative qui fait suite aux affaires Penda Bâ, Amy Collé Dieng, Ouléye Mané et aujourd’hui Assane Diouf qui doit être rapatrié ce mercredi à Dakar.
Il s’ agit, pour les instigateurs, de travailler à sensibiliser les Sénégalais sur le danger que constituent les réseaux sociaux surtout si l’usage qui en est fait n’est pas approprié.
Il ne s’agit nullement alors d’interdiction ce qui serait du reste impossible. Car, si cela avait été le cas, il y a longtemps que le monde occidental aurait annihilé l’ingénieux travail de communication de Daech ce groupe terroriste qui se fait appeler État Islamique dont l’essentiel du travail est de choquer par des images comme la décapitation de prisonniers et surtout de recruter en séduisant les jeunesses de ces pays.
Le Sénégal comme tous les autres États ne peut pas rester les bras croisés face à un phénomène qui prend de l’ampleur, mais force est de reconnaître que nous avons réagi trop tard et dans un contexte inapproprié.
Précisons que depuis longtemps, des Sénégalais utilisent la toile en tenues de terroristes pour professer des menaces contre des musulmans et surtout contre les confréries religieuses de notre pays.
C’était un moment idéal pour réagir et on n’avait rien fait.
Il fallait attendre qu’un bonhomme sorti de nulle part arrangue les foules par ses messages incendiaires et injurieux à l’endroit des hautes autorités de ce pays pour qu’il y ait de pareilles initiatives alors qu’il fallait les multiplier depuis longtemps à l’endroit des jeunes, les plus visés et les plus vulnérables.
Malheureusement, les Sénégalais comme les autres citoyens de État virtuel qui est le monde se sont appropriés cet outil depuis un bon moment. Du coup, le phénomène Assane Diouf n’en est qu’à ses débuts même si la personne de Assane Diouf peut être neutralisée par une procédure judiciaire somme toute compréhensible.
Ce dernier qui s’est fait remplacé sur la toile par son épouse américaine, continue à séduire au point qu’il sera difficile, par une réflexion bien tardive, de renverser la tendance.
Assane Samb