L’Etat serait le seul responsable si jamais « des enseignants étaient infectés par la COVID 19 après la réouverture prévue le 02 juin 2020 » avertit l’Alliance pour la Défense de l’Ecole Publique et des Travailleurs (ADEPT) à travers un communiqué rendu public.
«L’Adept réaffirme sa disponibilité à continuer de servir l’école publique, conformément à sa vocation. Seulement nous tenons à rappeler au Président de la République qu’à la date du 16 Mars 2020, le pays ne comptait que 27 cas déclarés positifs dont 25 sous traitement, aujourd’hui samedi 09 Mars 2020, le Sénégal compte 1634 cas déclarés positifs dont 975 sous traitement » a indiqué l’Adept qui doute de la capacité des autorités à réunir les conditions pour une bonne reprise des cours.
«L’ADEPT se permet de douter de la volonté et de la capacité du gouvernement à réunir les conditions requises pour une bonne reprise. Si l’on se souvient, il y a quelques années, ce même gouvernement était dans l’incapacité de doter certains établissements de craie blanche pour fonctionner correctement. N’oublions pas non plus que ce même gouvernement n’a toujours pas réussi à résorber les abris provisoires dont le nombre s’élève à 6639 à la rentrée d’octobre 2019».
«L’Adept réaffirme sa disponibilité à continuer de servir l’école publique, conformément à sa vocation. Seulement nous tenons à rappeler au Président de la République qu’à la date du 16 Mars 2020, le pays ne comptait que 27 cas déclarés positifs dont 25 sous traitement, aujourd’hui samedi 09 Mars 2020, le Sénégal compte 1634 cas déclarés positifs dont 975 sous traitement » a indiqué l’Adept qui doute de la capacité des autorités à réunir les conditions pour une bonne reprise des cours.
«L’ADEPT se permet de douter de la volonté et de la capacité du gouvernement à réunir les conditions requises pour une bonne reprise. Si l’on se souvient, il y a quelques années, ce même gouvernement était dans l’incapacité de doter certains établissements de craie blanche pour fonctionner correctement. N’oublions pas non plus que ce même gouvernement n’a toujours pas réussi à résorber les abris provisoires dont le nombre s’élève à 6639 à la rentrée d’octobre 2019».