Le moins que l'on puisse dire est que l'actuel coordonnateur du Pds a le vent en poupe, ces temps-ci! A peine, a t'il gagné à l'applaudimètre il y'a de cela quelques jours auprès des disciples mourides (lors de sa visite au khalif général dans sa résidence des HLM ) qu'Oumar Sarr est encore porté en triomphe par les pèlerins laissés en rade au hangar de l'aéroport Léo-poète.
En effet, à la tête d'une forte délégation du Pds et de leurs alliés du front, ils ont rendu visite en ce début de soirée du mardi à ces pèlerins, qui triment encore pour des raisons connues. Une visite de courtoisie saluée par la cohorte de dépités trouvés sur place. Certains d'entre ces candidats au pèlerinage ont spontanément scandé, à tue-tête, le nom d'Oumar Sarr. Qui, acquiescant, ne cessait de répondre par des: "merci! merci! merci!" à n'en plus finir.
Et, un d'entre ces malheureux pèlerins de lancer: "nous regrettons vraiment Wade!" Suffisant pour que fusent d'autres slogans favorables au régime sortant. Une dame de rappeler qu'il y'a trois ans, Wade leur avait offert le gite, c'est à dire une nuitée dans un hôtel de la place avec chacune la somme de...300.000 cfa en guise de consolation. Ce, alors que des pèlerins vivaient la même situation à l'aéroport de Dakar, c'est à dire laissés en rade, sans interlocuteur.
Et Oumar Sarr,apparemment revigoré par l'accueil à lui réservé par les malheureux voyageurs, d'improviser un speech dont la quintessence a tourné autour d'un appel solennel à l'Etat. "Il faut revoir les choses" laissera t'il entendre, invitant ainsi l'Establishment à "revoir sa copie", notamment pour l'acheminement des pèlerins aux lieux saints de l'Islam. L'actuel patron des libéraux de se désoler du fait que bizarrement c'est souvent les voyagistes privés qui sont souvent confrontés à ce genre de situation.
Un désarroi, disons plutôt une équation que l'Etat gagnerait à résoudre, pendant qu'il est encore temps.
En effet, à la tête d'une forte délégation du Pds et de leurs alliés du front, ils ont rendu visite en ce début de soirée du mardi à ces pèlerins, qui triment encore pour des raisons connues. Une visite de courtoisie saluée par la cohorte de dépités trouvés sur place. Certains d'entre ces candidats au pèlerinage ont spontanément scandé, à tue-tête, le nom d'Oumar Sarr. Qui, acquiescant, ne cessait de répondre par des: "merci! merci! merci!" à n'en plus finir.
Et, un d'entre ces malheureux pèlerins de lancer: "nous regrettons vraiment Wade!" Suffisant pour que fusent d'autres slogans favorables au régime sortant. Une dame de rappeler qu'il y'a trois ans, Wade leur avait offert le gite, c'est à dire une nuitée dans un hôtel de la place avec chacune la somme de...300.000 cfa en guise de consolation. Ce, alors que des pèlerins vivaient la même situation à l'aéroport de Dakar, c'est à dire laissés en rade, sans interlocuteur.
Et Oumar Sarr,apparemment revigoré par l'accueil à lui réservé par les malheureux voyageurs, d'improviser un speech dont la quintessence a tourné autour d'un appel solennel à l'Etat. "Il faut revoir les choses" laissera t'il entendre, invitant ainsi l'Establishment à "revoir sa copie", notamment pour l'acheminement des pèlerins aux lieux saints de l'Islam. L'actuel patron des libéraux de se désoler du fait que bizarrement c'est souvent les voyagistes privés qui sont souvent confrontés à ce genre de situation.
Un désarroi, disons plutôt une équation que l'Etat gagnerait à résoudre, pendant qu'il est encore temps.