Toujours en quête d'un Premier ministre, Emmanuel Macron a ouvert, mardi 27 août, un "nouveau cycle de consultations", avec le renfort de "personnalités" censées l'aider à sortir de l'impasse après avoir balayé l'option Lucie Castets. "J'ai bien conscience de l'urgence de la situation", a déclaré le président aux élus du groupe centriste Liot, premiers à être reçus pour ce deuxième round de discussions, a appris France Télévisions auprès de participants. "Les travaux continuent, la porte est ouverte et je reçois tous ceux qui veulent bien venir continuer à œuvrer dans l'intérêt supérieur du pays", a lancé le chef de l'Etat à l'issue de la journée, alors qu'il attendait le chef du gouvernement irlandais sur le perron de l'Elysée. Suivez notre direct.
La gauche boycotte ces nouvelles discussions. Une grande partie de la gauche a d'ores et déjà fait savoir qu'elle boycotterait ce rendez-vous. Mais l'opposition interne au sein du Parti socialiste demande la reprise des discussions avec Emmanuel Macron. Les ténors de la droite Laurent Wauquiez, Annie Genevard et Bruno Retailleau doivent se rendre à l'Elysée mercredi. Emmanuel Macron a par ailleurs déjeuné mardi avec le leader du MoDem François Bayrou, a appris France Télévisions de sources concordantes.
LFI appelle à "une grande manifestation" le 7 septembre, pas le PS. En fin de matinée, La France insoumise a appelé à "une grande manifestation contre le coup de force d'Emmanuel Macron" le 7 septembre, aux côtés de syndicats de la jeunesse. "Nous formons le vœu que les forces politiques, syndicales et associatives attachées à la défense de la démocratie se joignent à cet appel", écrivent les insoumis. Le Parti socialiste ne s'associe pas à cet appel à manifester.
Une motion de destitution LFI à venir ? La France insoumise a annoncé, lundi, qu'une motion de destitution d'Emmanuel Macron "sera présentée par les députés insoumis au bureau de l'Assemblée nationale" et que "toute proposition de Premier ministre autre que Lucie Castets fera l'objet d'une motion de censure". A l'instar de Marine Tondelier et du communiste Fabien Roussel, les insoumis appellent à "des marches pour le respect de la démocratie".
La gauche boycotte ces nouvelles discussions. Une grande partie de la gauche a d'ores et déjà fait savoir qu'elle boycotterait ce rendez-vous. Mais l'opposition interne au sein du Parti socialiste demande la reprise des discussions avec Emmanuel Macron. Les ténors de la droite Laurent Wauquiez, Annie Genevard et Bruno Retailleau doivent se rendre à l'Elysée mercredi. Emmanuel Macron a par ailleurs déjeuné mardi avec le leader du MoDem François Bayrou, a appris France Télévisions de sources concordantes.
LFI appelle à "une grande manifestation" le 7 septembre, pas le PS. En fin de matinée, La France insoumise a appelé à "une grande manifestation contre le coup de force d'Emmanuel Macron" le 7 septembre, aux côtés de syndicats de la jeunesse. "Nous formons le vœu que les forces politiques, syndicales et associatives attachées à la défense de la démocratie se joignent à cet appel", écrivent les insoumis. Le Parti socialiste ne s'associe pas à cet appel à manifester.
Une motion de destitution LFI à venir ? La France insoumise a annoncé, lundi, qu'une motion de destitution d'Emmanuel Macron "sera présentée par les députés insoumis au bureau de l'Assemblée nationale" et que "toute proposition de Premier ministre autre que Lucie Castets fera l'objet d'une motion de censure". A l'instar de Marine Tondelier et du communiste Fabien Roussel, les insoumis appellent à "des marches pour le respect de la démocratie".