Cédé à Wari dans un premier temps, l’opérateur Tigo a été proposé de nouveau à la vente depuis un mois, à un consortium dirigé par l’homme d’affaires Yérim Sow, suite à un contrat résilié.
« Ces manœuvres qui visent à remettre en cause le rachat de Tigo par Wari, à faire reporter le décret signé le 2 août 2017 par le président de la République validant la cession par Tigo et, à travers de basses attaques personnelles, à décrédibiliser le patron de la société, leader au Sénégal du transfert d’argent, constituent une sérieuse alerte dans la mesure où elles comportent la menace d’étouffer l’initiative privée nationale pour faire le lit de prédateurs étrangers qui veulent dépecer notre économie », dénonce ce Parti.
Mamour Cissé et ses camarades trouvent « inconcevable et inadmissible, de laisser prospérer les méfaits des ennemis de la Nation, qui cherchent coûte que coûte à faire capoter le rachat par Wari de la société de téléphonie mobile cédée par la multinationale Millenium ».
Dans le texte, ils demandent au président de la République, devant ce qu’ils considèrent comme des « dérives », de « conforter » Kabirou Mbodje, propriétaire de Wari, « qui a su faire preuve d’esprit d’entreprise et d’audace ».
La rédaction de Leral.net
« Ces manœuvres qui visent à remettre en cause le rachat de Tigo par Wari, à faire reporter le décret signé le 2 août 2017 par le président de la République validant la cession par Tigo et, à travers de basses attaques personnelles, à décrédibiliser le patron de la société, leader au Sénégal du transfert d’argent, constituent une sérieuse alerte dans la mesure où elles comportent la menace d’étouffer l’initiative privée nationale pour faire le lit de prédateurs étrangers qui veulent dépecer notre économie », dénonce ce Parti.
Mamour Cissé et ses camarades trouvent « inconcevable et inadmissible, de laisser prospérer les méfaits des ennemis de la Nation, qui cherchent coûte que coûte à faire capoter le rachat par Wari de la société de téléphonie mobile cédée par la multinationale Millenium ».
Dans le texte, ils demandent au président de la République, devant ce qu’ils considèrent comme des « dérives », de « conforter » Kabirou Mbodje, propriétaire de Wari, « qui a su faire preuve d’esprit d’entreprise et d’audace ».
La rédaction de Leral.net