Moins de dix jours après, les pluies diluviennes qui ont décimé une bonne partie du cheptel du ranch de Dolly, le bétail continue toujours de nourrir. Pour l'heure, 6354 carcasses d'animaux ont été recensées et ce chiffre inquiète les éleveurs en vue de la Tabaski.
"Moi-même, j'ai perdu 11 moutons et une âne. Vraiment, j'ai tout vu en compagnie des services vétérinaires, nous avons visité tout le ranch pour faire l'état des lieux. Mais nous sommes dépassés par l'ampleur des dégâts. Des éleveurs ont presque tout perdu. Nous souhaitons que cela n'influe pas de manière négative sur la tabaski", constate Fany Sow, le président de l'association "Nanou Ndiral"
"Après la mort en série de nos animaux, nous pensions que tous qu'ils ont été tués par le froid et le vent. C'est pourquoi nous allumions le feu pour les réchauffer, mais force est de constater que cela a été sans effet. Et, puis plus d'une semaine après la pluie, les animaux continuent de mourir donc il faut qu'on essaie de trouver les solutions. Cependant, nous croyons dur comme fer que la vie et la mort relèvent exclusivement du pouvoir de Dieu", explique avec amertume le président de la maison des éleveurs de la commune de Thiél dans l'observateur.
"Moi-même, j'ai perdu 11 moutons et une âne. Vraiment, j'ai tout vu en compagnie des services vétérinaires, nous avons visité tout le ranch pour faire l'état des lieux. Mais nous sommes dépassés par l'ampleur des dégâts. Des éleveurs ont presque tout perdu. Nous souhaitons que cela n'influe pas de manière négative sur la tabaski", constate Fany Sow, le président de l'association "Nanou Ndiral"
"Après la mort en série de nos animaux, nous pensions que tous qu'ils ont été tués par le froid et le vent. C'est pourquoi nous allumions le feu pour les réchauffer, mais force est de constater que cela a été sans effet. Et, puis plus d'une semaine après la pluie, les animaux continuent de mourir donc il faut qu'on essaie de trouver les solutions. Cependant, nous croyons dur comme fer que la vie et la mort relèvent exclusivement du pouvoir de Dieu", explique avec amertume le président de la maison des éleveurs de la commune de Thiél dans l'observateur.