Jean-Francis Bozizé, le fils aîné de l’ancien président centrafricain François Bozizé, a été arrêté ce vendredi matin.
Selon le ministre centrafricain de la Justice, Flavien Mbata, les autorités centrafricaines étaient au courant de sa présence dans le pays depuis son arrivée « de manière inopinée à Bangui en provenance de Nairobi, à bord d'un vol de la compagnie aérienne Kenyan Airways », le mercredi 3 août.
Il ajoute que c'est à la demande du Kwa Na Kwa, le parti de l'ancien président, que son fils, accompagné d'un avocat, s'est présenté à la Minusca. Jean-Francis Bozizé est désormais détenu dans les locaux des SRI, les services de recherche et d’investigation.
La Minusca a procédé à cette arrestation sur la base d'un mandat d'arrêt international émis en mai 2014 par le tribunal de grande instance de Bangui. Jean-Francis Bozizé, ancien ministre de la Défense nationale et bras droit de son père, est poursuivi pour torture, détournement de deniers publics, complicité d'assassinat et association de malfaiteurs par la justice centrafricaine.
Le Conseil national de transition avait promis que si un Bozizé rentrait au pays, il serait arrêté. C’est donc chose faite ce vendredi. Jean-Francis Bozizé doit maintenant être présenté au juge d'instruction chargé de l'affaire.
Selon le ministre centrafricain de la Justice, Flavien Mbata, les autorités centrafricaines étaient au courant de sa présence dans le pays depuis son arrivée « de manière inopinée à Bangui en provenance de Nairobi, à bord d'un vol de la compagnie aérienne Kenyan Airways », le mercredi 3 août.
Il ajoute que c'est à la demande du Kwa Na Kwa, le parti de l'ancien président, que son fils, accompagné d'un avocat, s'est présenté à la Minusca. Jean-Francis Bozizé est désormais détenu dans les locaux des SRI, les services de recherche et d’investigation.
La Minusca a procédé à cette arrestation sur la base d'un mandat d'arrêt international émis en mai 2014 par le tribunal de grande instance de Bangui. Jean-Francis Bozizé, ancien ministre de la Défense nationale et bras droit de son père, est poursuivi pour torture, détournement de deniers publics, complicité d'assassinat et association de malfaiteurs par la justice centrafricaine.
Le Conseil national de transition avait promis que si un Bozizé rentrait au pays, il serait arrêté. C’est donc chose faite ce vendredi. Jean-Francis Bozizé doit maintenant être présenté au juge d'instruction chargé de l'affaire.