Le rapport souligne les restrictions à la liberté d’expression, la liberté des médias, ainsi que les manquements à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association. La question de l’indépendance de la justice est également soulevée, ainsi que les droits des personnes LGBTQ+.
Le département d’État dénonce des homicides arbitraires ou illégaux, des traitements cruels, inhumains ou dégradants, ainsi que des conditions carcérales difficiles et potentiellement mortelles. Les responsabilités sont souvent attribuées à des agents pénitentiaires, des forces de sécurité ou des collaborateurs agissant en leur nom.
Le rapport évoque des homicides lors d’émeutes et de violentes manifestations, notamment en lien avec les partisans de l’opposant Ousmane Sonko. L’attaque au cocktail Molotov sur un bus Tata à Yarakh est également mentionnée, ainsi que l’usage excessif de la force par les forces de sécurité.
Le rapport met en avant la surpopulation carcérale, notamment à la prison de Rebeuss, qui accueille plus du double de sa capacité recommandée.
La justice sénégalaise est décrite comme étant sous pression et influence de l’Exécutif, confrontée à des problèmes de corruption, de mauvaises conditions de travail, et de manque de ressources.
Le rapport dénonce les censures, restrictions et pressions exercées sur les médias et les journalistes, notamment en ligne, malgré l’influence du gouvernement sur l’information à travers des médias gouvernementaux.
Le rapport accorde une attention particulière à la situation des personnes LGBTQ+ au Sénégal, évoquant l’intolérance ou l’encouragement de la violence à leur encontre, ainsi que les menaces, attaques, chantage et viols dont elles sont victimes.
dakarmatin
Le département d’État dénonce des homicides arbitraires ou illégaux, des traitements cruels, inhumains ou dégradants, ainsi que des conditions carcérales difficiles et potentiellement mortelles. Les responsabilités sont souvent attribuées à des agents pénitentiaires, des forces de sécurité ou des collaborateurs agissant en leur nom.
Le rapport évoque des homicides lors d’émeutes et de violentes manifestations, notamment en lien avec les partisans de l’opposant Ousmane Sonko. L’attaque au cocktail Molotov sur un bus Tata à Yarakh est également mentionnée, ainsi que l’usage excessif de la force par les forces de sécurité.
Le rapport met en avant la surpopulation carcérale, notamment à la prison de Rebeuss, qui accueille plus du double de sa capacité recommandée.
La justice sénégalaise est décrite comme étant sous pression et influence de l’Exécutif, confrontée à des problèmes de corruption, de mauvaises conditions de travail, et de manque de ressources.
Le rapport dénonce les censures, restrictions et pressions exercées sur les médias et les journalistes, notamment en ligne, malgré l’influence du gouvernement sur l’information à travers des médias gouvernementaux.
Le rapport accorde une attention particulière à la situation des personnes LGBTQ+ au Sénégal, évoquant l’intolérance ou l’encouragement de la violence à leur encontre, ainsi que les menaces, attaques, chantage et viols dont elles sont victimes.
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