Avec l'entrée en vigueur du salaire minimum non discriminatoire au Qatar, tous les salariés - sans distinction de nationalité ni d’emploi - devront être payés au moins 230 euros pour un mois de travail, soit environ un euro de l'heure. Cette mesure vise à « stimuler les investissements (…) et à favoriser la croissance économique », explique le ministère qatarien du Travail.
Elle permet aussi de répondre à la pression des organisations internationales. Car depuis qu'il a été sélectionné pour accueillir la Coupe du monde de football en 2022, le petit émirat gazier s’est lancé dans une vaste réforme de son droit du travail. L’été dernier, les autorités avaient par exemple annoncé le démantèlement du système controversé de la kafala.
Mais selon certaines ONG, ces mesures sont encore insuffisantes. Le quotidien britannique, The Guardian, avait par ailleurs révélé que plus de 6 500 travailleurs migrants seraient décédés depuis 2010. Notamment sur les chantiers du Mondial de football.
Elle permet aussi de répondre à la pression des organisations internationales. Car depuis qu'il a été sélectionné pour accueillir la Coupe du monde de football en 2022, le petit émirat gazier s’est lancé dans une vaste réforme de son droit du travail. L’été dernier, les autorités avaient par exemple annoncé le démantèlement du système controversé de la kafala.
Mais selon certaines ONG, ces mesures sont encore insuffisantes. Le quotidien britannique, The Guardian, avait par ailleurs révélé que plus de 6 500 travailleurs migrants seraient décédés depuis 2010. Notamment sur les chantiers du Mondial de football.