Le verdict du procès en appel dans l'affaire dite de la tuerie de Boffa-Bayotte est tombé ce jeudi 29 août. La peine de réclusion criminelle à perpétuité à été confirmée pour le journaliste d'investigation René Capain Bassène. L'autre détenu, Omar Ampoye Bodian, a été acquitté.
Ces deux personnes avaient été condamnées en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité et considérées comme étant les cerveaux dans cette affaire.
Pour rappel, le 6 janvier 2018, des personnes partis chercher du bois dans la forêt de Boffa Bayotte au sud de Ziguinchor, non loin de la frontière avec la Guinée Bissau avaient été pris à partie par des assaillants armés supposés appartenir au Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC).
« 14 morts constatés et 7 blessés et trois personnes qui réussiront à s’échapper indemnes », avait dressé la gendarmerie nationale comme bilan de « l’embuscade tendue ».
« Les personnes ont été regroupées, couchées par terre et sauvagement exécutées », déplorait la Gendarmerie.
Une semaine après le drame, 22 personnes avaient été arrêtées. A la suite des auditions effectuées par la gendarmerie, 16 personnes avaient été placées sous mandat de dépôt.
Ils étaient poursuivis pour 14 chefs d’inculpation dont l’association de malfaiteurs, l’assassinat, la participation à un mouvement insurrectionnel et la détention d’armes à feu sans autorisation.
En première instance, le tribunal de Ziguinchor a prononcé la réclusion criminelle à perpétuité contre trois des quinze accusés de la tuerie. Il s’agit de César Atoute Badiate, chef de guerre du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), condamné par contumace, René Capain Bassène et Oumar Ampoye Bodian.
seneweb
Ces deux personnes avaient été condamnées en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité et considérées comme étant les cerveaux dans cette affaire.
Pour rappel, le 6 janvier 2018, des personnes partis chercher du bois dans la forêt de Boffa Bayotte au sud de Ziguinchor, non loin de la frontière avec la Guinée Bissau avaient été pris à partie par des assaillants armés supposés appartenir au Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance (MFDC).
« 14 morts constatés et 7 blessés et trois personnes qui réussiront à s’échapper indemnes », avait dressé la gendarmerie nationale comme bilan de « l’embuscade tendue ».
« Les personnes ont été regroupées, couchées par terre et sauvagement exécutées », déplorait la Gendarmerie.
Une semaine après le drame, 22 personnes avaient été arrêtées. A la suite des auditions effectuées par la gendarmerie, 16 personnes avaient été placées sous mandat de dépôt.
Ils étaient poursuivis pour 14 chefs d’inculpation dont l’association de malfaiteurs, l’assassinat, la participation à un mouvement insurrectionnel et la détention d’armes à feu sans autorisation.
En première instance, le tribunal de Ziguinchor a prononcé la réclusion criminelle à perpétuité contre trois des quinze accusés de la tuerie. Il s’agit de César Atoute Badiate, chef de guerre du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC), condamné par contumace, René Capain Bassène et Oumar Ampoye Bodian.
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