► Pour Agathon Rwasa, la population est déterminée au changement
L’ex-chef rebelle Agathon Rwasa se présente ous les couleurs du Congrès national pour la liberté (CNL). Il est le principal rival du général Evariste Ndayishimiye, candidat du parti au pouvoir, le Conseil national pour la défense de la démocratie-Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD).
► Léonce Ngendakumana veut réhabiliter l'Accord de paix d'Arusha
Léonce Ngendakumana est le candidat du parti Frodebu. Ce parti avait gagné les premières élections libres du Burundi il y a 27 ans. Actuellement dans l'opposition, il pointe du doigt le bilan du président Pierre Nkurunziza. Sa priorité sera de changer la Constitution actuelle et de réhabiliter l'accord d'Arusha de 2000.
►Pour Gaston Sindimwo, « il faut briser la peur »
Gaston Sindimwo, candidat Uprona, considère qu'il faudra améliorer les relations diplomatiques du Burundi s'il est élu. Ce candidat, qui considère que le gouvernement a fait du bon travail et qu'il a « un bilan positif par rapport aux autres présidents », souhaite notamment que le pays se démilitarise.
► Pour Francis Rohero, « les partis politiques ont fait leur temps »
Francis Rohero est l'initiateur du mouvement Orange, un mouvement citoyen créé pour changer la donne face aux logiques de partis. Ce candidat indépendant mise tout sur un programme chiffré et sur un investissement important dans l'économie du pays pour la relancer.
► Pour Domitien Ndayizeye, « depuis 2005, c’est le déni de l’accord d’Arusha »
Domitien Ndayizeye, soutenu par la coalition Kira Burundi, souhaite en finir avec le système Nkurunziza et regrette que l'accord d'Arusha ne soit plus suivi. Il met au centre de son programme, la lutte contre la pauvreté et le rétablissement « des libertés individuelles et d'une véritable démocratie ».
► Pour Dieudonné Nahimana, « le passé nous divise au lieu de nous unir »
Dieudonné Nahimana est pasteur et fondateur de l’association New Generation. Ce candidat indépendant veut jouer la carte de la nouveauté pour que le pays puisse couper avec son passé « qui divise ». Se disant candidat de la jeunesse, il prone un message d'union en dehors des logiques partisanes.
Rfi
L’ex-chef rebelle Agathon Rwasa se présente ous les couleurs du Congrès national pour la liberté (CNL). Il est le principal rival du général Evariste Ndayishimiye, candidat du parti au pouvoir, le Conseil national pour la défense de la démocratie-Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD).
► Léonce Ngendakumana veut réhabiliter l'Accord de paix d'Arusha
Léonce Ngendakumana est le candidat du parti Frodebu. Ce parti avait gagné les premières élections libres du Burundi il y a 27 ans. Actuellement dans l'opposition, il pointe du doigt le bilan du président Pierre Nkurunziza. Sa priorité sera de changer la Constitution actuelle et de réhabiliter l'accord d'Arusha de 2000.
►Pour Gaston Sindimwo, « il faut briser la peur »
Gaston Sindimwo, candidat Uprona, considère qu'il faudra améliorer les relations diplomatiques du Burundi s'il est élu. Ce candidat, qui considère que le gouvernement a fait du bon travail et qu'il a « un bilan positif par rapport aux autres présidents », souhaite notamment que le pays se démilitarise.
► Pour Francis Rohero, « les partis politiques ont fait leur temps »
Francis Rohero est l'initiateur du mouvement Orange, un mouvement citoyen créé pour changer la donne face aux logiques de partis. Ce candidat indépendant mise tout sur un programme chiffré et sur un investissement important dans l'économie du pays pour la relancer.
► Pour Domitien Ndayizeye, « depuis 2005, c’est le déni de l’accord d’Arusha »
Domitien Ndayizeye, soutenu par la coalition Kira Burundi, souhaite en finir avec le système Nkurunziza et regrette que l'accord d'Arusha ne soit plus suivi. Il met au centre de son programme, la lutte contre la pauvreté et le rétablissement « des libertés individuelles et d'une véritable démocratie ».
► Pour Dieudonné Nahimana, « le passé nous divise au lieu de nous unir »
Dieudonné Nahimana est pasteur et fondateur de l’association New Generation. Ce candidat indépendant veut jouer la carte de la nouveauté pour que le pays puisse couper avec son passé « qui divise ». Se disant candidat de la jeunesse, il prone un message d'union en dehors des logiques partisanes.
Rfi