Malgré les tentatives de certaines instances du pouvoir local de minimiser l’affaire, les résultats de ces sondages, jugés cruciaux pour les investissements futurs des multinationales, pourraient expliquer le choix d’un géant britannique du gaz et du pétrole de quitter les eaux sénégalaises. La présidentielle prévue en février 2024 au Sénégal ne se limite pas aux luttes politiques entre partis.
Elle suscite également l’intérêt de compagnies pétrolières étrangères, anticipant sur l’exploitation des ressources gazières et pétrolières prévue en 2024. Selon des informations exclusives relayées par Confidentiel Afrique, deux firmes pétrolières ont commandé des sondages à deux cabinets réputés, basés à Londres et Sydney, afin d’évaluer les chances des potentiels candidats à la présidentielle de 2024.
Les résultats des sondages, réalisés entre mars et avril 2023, indiquent un virulent opposant au régime en tête. Un des sondages le crédite de 52,34% des voix dès le premier tour, tandis que l’autre prévoit un report massif de voix en sa faveur au second tour. Ces sondages, utilisant des méthodes sophistiquées, ont ciblé divers profils, tels que des universitaires, des étudiants en master et doctorants, des ouvriers, et des entrepreneurs de la diaspora sénégalaise.
Les commandes de ces sondages par les compagnies pétrolières étrangères soulèvent des interrogations sur leur rôle potentiel en tant que feuille de route dans leurs investissements stratégiques dans les eaux profondes sénégalaises. Ces entreprises de renom, attentives aux enjeux de la prochaine présidentielle, semblent observer de près l’évolution pétrolière et gazière du pays.
dakarmatin
Elle suscite également l’intérêt de compagnies pétrolières étrangères, anticipant sur l’exploitation des ressources gazières et pétrolières prévue en 2024. Selon des informations exclusives relayées par Confidentiel Afrique, deux firmes pétrolières ont commandé des sondages à deux cabinets réputés, basés à Londres et Sydney, afin d’évaluer les chances des potentiels candidats à la présidentielle de 2024.
Les résultats des sondages, réalisés entre mars et avril 2023, indiquent un virulent opposant au régime en tête. Un des sondages le crédite de 52,34% des voix dès le premier tour, tandis que l’autre prévoit un report massif de voix en sa faveur au second tour. Ces sondages, utilisant des méthodes sophistiquées, ont ciblé divers profils, tels que des universitaires, des étudiants en master et doctorants, des ouvriers, et des entrepreneurs de la diaspora sénégalaise.
Les commandes de ces sondages par les compagnies pétrolières étrangères soulèvent des interrogations sur leur rôle potentiel en tant que feuille de route dans leurs investissements stratégiques dans les eaux profondes sénégalaises. Ces entreprises de renom, attentives aux enjeux de la prochaine présidentielle, semblent observer de près l’évolution pétrolière et gazière du pays.
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