Le lancement officiel du premier album de la chanteuse Max s’est fait hier à la Maison de la culture Douta Seck. Cet opus baptisé Racines, composé de 8 titres, est un mélange de plusieurs variétés étrangères : du reggae, de la musique afro, du coupé décalé...
La chanteuse Max de son vrai nom Maguette Samb du groupe Xam xam qui avait l’habitude de chanter dans les clubs a fait un pas de plus en sortant son premier opus, baptisé Racines. L’album est composé de 8 titres notamment, Jigeen (Femme), Emigrés, Clandestins, Dimbali (aide), l’Enfant est roi entre autres. Expliquant le titre éponyme, l’auteur affirme que Racines, c’est la base fondamentale de toutes existences. «Racines signifie beaucoup de choses. La mère est une racine, c’est elle qui donne naissance, elle est une femme. Celle-ci représente beaucoup sur cette terre, elle est une branche», explique la chanteuse. Selon la chanteuse, ce titre fait notamment allusion au quartier de Grand Médine, où elle est née. «J’ai mes racines là-bas, j’ai chanté un morceau nommé Grand Médine pour leur rendre hommage. Je dis Racines aussi parce que je chante dans beaucoup de langues un peu d’anglais, français, wolof. En plus je mélange beaucoup de musique», renseigne-t-elle.
Dans cet opus, Max révèle avoir mélangé plusieurs sonorités étrangères, du raggae, à l’afro. «Je fais de la variété. Et comme nouveauté dans l’opus, il y a du reggae, saoul, du coupé décalé… Ma musique n’a pas de frontière, je fais en sorte de toucher tout le monde», vante-t-elle. Sur le morceau L’Enfant est roi, l’artiste dit avoir chanté l’enfant parce qu’il est l’avenir de demain. Quant au son Emigrés Clandestins, «Je croyais que ce phénomène avait disparu mais jusqu’à présent cela existe. A la petite côte on voit souvent des jeunes qui partent. On voit souvent certains en parler à la tété et autres, j’ai voulu un peu conscientisé», explique-t-elle. Max confirme ainsi à travers cet album, son engagement à chanter des thèmes de société. Quid de la production de son joyau ? La starlette de Grand Médine a mentionné que ce n’était pas facile «mais avec l’aide de mon mari, je m’en suis bien sortie», a-t-elle dit.
Parcours
Pour une bonne promotion de son album, Maguette Samb a informé qu’elle a fait une vidéo clip avec le morceau Yaye sama yaye (tu es ma maman). Elle prépare également des soirées et des concerts. De son vrai nom Maguette Samb, Max est née et a grandi à Grand Médine. Elle a commencé la musique à l’âge de 15 ans. Partie sur la petite côte, notamment à Mbour pour y mener son art, elle finit par créer son groupe, Xam xam composé de 5 personnes. Entre temps elle avait marqué une petite pause dans la musique pour faire le ballet et le théâtre. Mais comme le dit un dicton «si l’on ne sait pas là où on va, on retourne d’où l’on vient», dit-elle, avant de poursuivre : «J’ai vu que comme j’aimais la musique et que je chantais bien, il fallait que je retourne vers la musique».
«La musique je l’ai héritée de mes grands-parents, mais c’est quelque chose que j’aime aussi», a encore précisé la chanteuse qui, pour expliquer son nom d’artiste Max, a révélé qu’elle avait un atelier couture qui portait ce pseudonyme. «On m’appelait Max création, et j’en ai fait un nom d’artiste.» Dans le milieu, Max a pour référence Coumba Gawlo Seck et Viviane Ndour.
Le Quotidien
La chanteuse Max de son vrai nom Maguette Samb du groupe Xam xam qui avait l’habitude de chanter dans les clubs a fait un pas de plus en sortant son premier opus, baptisé Racines. L’album est composé de 8 titres notamment, Jigeen (Femme), Emigrés, Clandestins, Dimbali (aide), l’Enfant est roi entre autres. Expliquant le titre éponyme, l’auteur affirme que Racines, c’est la base fondamentale de toutes existences. «Racines signifie beaucoup de choses. La mère est une racine, c’est elle qui donne naissance, elle est une femme. Celle-ci représente beaucoup sur cette terre, elle est une branche», explique la chanteuse. Selon la chanteuse, ce titre fait notamment allusion au quartier de Grand Médine, où elle est née. «J’ai mes racines là-bas, j’ai chanté un morceau nommé Grand Médine pour leur rendre hommage. Je dis Racines aussi parce que je chante dans beaucoup de langues un peu d’anglais, français, wolof. En plus je mélange beaucoup de musique», renseigne-t-elle.
Dans cet opus, Max révèle avoir mélangé plusieurs sonorités étrangères, du raggae, à l’afro. «Je fais de la variété. Et comme nouveauté dans l’opus, il y a du reggae, saoul, du coupé décalé… Ma musique n’a pas de frontière, je fais en sorte de toucher tout le monde», vante-t-elle. Sur le morceau L’Enfant est roi, l’artiste dit avoir chanté l’enfant parce qu’il est l’avenir de demain. Quant au son Emigrés Clandestins, «Je croyais que ce phénomène avait disparu mais jusqu’à présent cela existe. A la petite côte on voit souvent des jeunes qui partent. On voit souvent certains en parler à la tété et autres, j’ai voulu un peu conscientisé», explique-t-elle. Max confirme ainsi à travers cet album, son engagement à chanter des thèmes de société. Quid de la production de son joyau ? La starlette de Grand Médine a mentionné que ce n’était pas facile «mais avec l’aide de mon mari, je m’en suis bien sortie», a-t-elle dit.
Parcours
Pour une bonne promotion de son album, Maguette Samb a informé qu’elle a fait une vidéo clip avec le morceau Yaye sama yaye (tu es ma maman). Elle prépare également des soirées et des concerts. De son vrai nom Maguette Samb, Max est née et a grandi à Grand Médine. Elle a commencé la musique à l’âge de 15 ans. Partie sur la petite côte, notamment à Mbour pour y mener son art, elle finit par créer son groupe, Xam xam composé de 5 personnes. Entre temps elle avait marqué une petite pause dans la musique pour faire le ballet et le théâtre. Mais comme le dit un dicton «si l’on ne sait pas là où on va, on retourne d’où l’on vient», dit-elle, avant de poursuivre : «J’ai vu que comme j’aimais la musique et que je chantais bien, il fallait que je retourne vers la musique».
«La musique je l’ai héritée de mes grands-parents, mais c’est quelque chose que j’aime aussi», a encore précisé la chanteuse qui, pour expliquer son nom d’artiste Max, a révélé qu’elle avait un atelier couture qui portait ce pseudonyme. «On m’appelait Max création, et j’en ai fait un nom d’artiste.» Dans le milieu, Max a pour référence Coumba Gawlo Seck et Viviane Ndour.
Le Quotidien