Les dernières parutions à son sujet ne semblent guère être très appréciées de l’auteur d’un brûlot sur la gendarmerie, qui a défrayé la chronique en 2014. Le colonel Abdoulaye Aziz Ndao, puisque c’est de lui qu’il s’agit, revient au-devant de l’actualité et apporte la réplique à ses détracteurs. «Je n’aime pas les amalgames», tient-il, à préciser, d’emblée. «Je suis officier et j’ai des grades statutaires fixés par une loi de 1963. Je ne suis pas fonctionnaire ni agent contractuel de l’Etat. En outre, en aucun cas même en cas de perte de mon grade, je ne pouvais pas perdre mes droits à la pension parce que je n’ai commis aucune infraction liée à l’argent sale», soutient le colonel Abdoulaye Aziz Ndao, dans un droit de répondre publié dans le quotidien L’As de ce vendredi 6 janvier 2017.
«J’ai été puni de la sanction la plus sévère possible infligée à officier» L’ancien commandant en second de la gendarmerie d’indexer des propos tenus à son encore, dans le même canard. «Hier dit-il, il était question dans l’As d’autres faits dans lesquels mon nom a été cité pour avoir été l’auteur d’un livre qui incrimine certains officiers de la gendarmerie. Les faits incriminés pour ces officiers sont des crimes et délits qui relèvent du code pénal et du code de justice militaire. Les faits à moi reprochés relèvent du décret portant règlement de discipline générale des forces armées.
Pour ces faits, rappelle-t-il, j’ai été puni de 60 jours d’arrêts de forteresse, sanction la plus sévère possible infligée à officier». Mis en cause également dans des publications récentes parues sur le web, il porte l’estocade et recadre les «apprentis juristes qui, dit-il, veulent noyer le poisson et font des pressions sur les sites web qui étalent leurs méfaits». «Je ne suis plus concerné par des fonctions civiles et militaires.
Je jouis tranquillement d’une retraite méritée après 42 ans effectifs de service où j’estime avoir servi avec Honneur, Compétence et Loyauté. Alors, que cessent les amalgames et la lâcheté de l’ombre. Moi c’est noir sur blanc et avec panache parce que je ne dois rien à personne», persiste et signe celui qui a assuré pendant 5 ans, les fonctions de directeur des Affaires Juridiques et Générales du ministère des Forces armées.
Auteur: Seneweb
«J’ai été puni de la sanction la plus sévère possible infligée à officier» L’ancien commandant en second de la gendarmerie d’indexer des propos tenus à son encore, dans le même canard. «Hier dit-il, il était question dans l’As d’autres faits dans lesquels mon nom a été cité pour avoir été l’auteur d’un livre qui incrimine certains officiers de la gendarmerie. Les faits incriminés pour ces officiers sont des crimes et délits qui relèvent du code pénal et du code de justice militaire. Les faits à moi reprochés relèvent du décret portant règlement de discipline générale des forces armées.
Pour ces faits, rappelle-t-il, j’ai été puni de 60 jours d’arrêts de forteresse, sanction la plus sévère possible infligée à officier». Mis en cause également dans des publications récentes parues sur le web, il porte l’estocade et recadre les «apprentis juristes qui, dit-il, veulent noyer le poisson et font des pressions sur les sites web qui étalent leurs méfaits». «Je ne suis plus concerné par des fonctions civiles et militaires.
Je jouis tranquillement d’une retraite méritée après 42 ans effectifs de service où j’estime avoir servi avec Honneur, Compétence et Loyauté. Alors, que cessent les amalgames et la lâcheté de l’ombre. Moi c’est noir sur blanc et avec panache parce que je ne dois rien à personne», persiste et signe celui qui a assuré pendant 5 ans, les fonctions de directeur des Affaires Juridiques et Générales du ministère des Forces armées.
Auteur: Seneweb