Au-delà du challenge financier et de la volonté de tenter une nouvelle aventure, entamer une nouvelle carrière, les démissionnaires de GFM doivent être contents de ne plus avoir à avaler des couleuvres. Car, des frustrations, Mamoudou Ibra Kane et Alassane Samba Diop, puisqu'il s'agit d'eux, en ont connu et pas des moindres.
Dakarposte tient de sources au fait de ce qui se trame à Futurs Médias qu'il y'a d’abord cette énorme différence de traitement salarial entre journalistes et animateurs. L’on note que certains animateurs, sans aucune formation et dépourvus de talent ont une traitement royal alors que les journalistes, formés à bonne école et ayant fait leurs preuves perçoivent des salaires "service minimum" et n’ont aucune possibilité d’avancer dans leur carrière.
Un "clown" comme Thiamass a déclaré publiquement que Youssou Ndour lui aurait proposé un salaire de 600.000 francs, de quoi frustrer ces pauvres journalistes qui perçoivent à peine 200.000 francs ! Qui plus est, ils n’ont aucune liberté sur le traitement de l’information car le patron de la maison, Youssou Ndour fait partie d’un système politique en tant qu’allié du parti au pouvoir. Aucune critique contre le régime en place, même justifiée n’est tolérée par l’oligarchie familiale à la tête du groupe. L’immixtion de la famille de Youssou Ndour dans le fonctionnement du groupe est ainsi considérée comme contreproductive.
Récemment, le promoteur de lutte Gaston Mbengue a fait une sortie gênante sur TFM, affirmant que les chaînes de télé qui ne sont pas favorables à Macky Sall ne diffuseront pas son prochain grand combat. Face à cette déclaration discriminatoire, les journalistes, gênés, leur chef Mamoudou Ibra Kane en tête avaient concocté un communiqué pour se démarquer de cette déclaration mais il n’a jamais été publié en raison d’une intervention de Youssou Ndour en personne, qui leur a demandé de «déchirer» leur communiqué.
Le tout dans tout, même s’il n’y avait pas eu cette opportune proposition de lancer un nouveau groupe de presse, la plupart auraient quitté à la première occasion.
Mais leur départ cause aussi une grande frustration à Youssou Ndour. Non seulement il comptait sur le talent et le professionnalisme des démissionnaires pour la prochaine campagne électorale, mais il avait aussi misé sur eux pour assurer avec brio les programmes spéciaux mis en œuvre pour fêter le quinzième anniversaire du Groupe Futur Médias qui aura lieu le 15 septembre prochain. Mais le vin est tiré, il faudra le boire jusqu’à la lie…
Dakarposte tient de sources au fait de ce qui se trame à Futurs Médias qu'il y'a d’abord cette énorme différence de traitement salarial entre journalistes et animateurs. L’on note que certains animateurs, sans aucune formation et dépourvus de talent ont une traitement royal alors que les journalistes, formés à bonne école et ayant fait leurs preuves perçoivent des salaires "service minimum" et n’ont aucune possibilité d’avancer dans leur carrière.
Un "clown" comme Thiamass a déclaré publiquement que Youssou Ndour lui aurait proposé un salaire de 600.000 francs, de quoi frustrer ces pauvres journalistes qui perçoivent à peine 200.000 francs ! Qui plus est, ils n’ont aucune liberté sur le traitement de l’information car le patron de la maison, Youssou Ndour fait partie d’un système politique en tant qu’allié du parti au pouvoir. Aucune critique contre le régime en place, même justifiée n’est tolérée par l’oligarchie familiale à la tête du groupe. L’immixtion de la famille de Youssou Ndour dans le fonctionnement du groupe est ainsi considérée comme contreproductive.
Récemment, le promoteur de lutte Gaston Mbengue a fait une sortie gênante sur TFM, affirmant que les chaînes de télé qui ne sont pas favorables à Macky Sall ne diffuseront pas son prochain grand combat. Face à cette déclaration discriminatoire, les journalistes, gênés, leur chef Mamoudou Ibra Kane en tête avaient concocté un communiqué pour se démarquer de cette déclaration mais il n’a jamais été publié en raison d’une intervention de Youssou Ndour en personne, qui leur a demandé de «déchirer» leur communiqué.
Le tout dans tout, même s’il n’y avait pas eu cette opportune proposition de lancer un nouveau groupe de presse, la plupart auraient quitté à la première occasion.
Mais leur départ cause aussi une grande frustration à Youssou Ndour. Non seulement il comptait sur le talent et le professionnalisme des démissionnaires pour la prochaine campagne électorale, mais il avait aussi misé sur eux pour assurer avec brio les programmes spéciaux mis en œuvre pour fêter le quinzième anniversaire du Groupe Futur Médias qui aura lieu le 15 septembre prochain. Mais le vin est tiré, il faudra le boire jusqu’à la lie…