Après plusieurs heures d’attente à l’extérieur du King Fahd Palace, le public entre sur les lieux du concert. Certains, particulièrement les filles et autres dames, l'air enthousiaste, courent pour être au plus près de la scène. Les corps se frôlent.
L’attente qui a duré depuis l’achat des billets est oubliée une fois que les individus sont réunis autour de la scène. Ce qui compte est ce qui se passe dans le temps présent, le temps du concert.
L'horloge affiche déjà 21 heures. Le King Fahd est quasiment complet.Sous le grand chapiteau "planté", pour la circonstance, sur l'esplanade de ce cadre enchanteur de l'hôtel King Fahd, une foule devenue au fur et à mesure compacte, suit ébahi les exploits des animateurs du dernier bébé de Futurs Médias , la radio King Fm.
Selon les affinités, entre amis, parents, sympathisants... le beautiful people se divertit déjà, consomme autour des buvettes bref, se délasse en attendant l'arrivée de celui qui a su imposer suprématie à l'échelle de la planète.
Après quelques heures d'attente, "You" et le Super Etoile sont annoncés. C'est l'effervescence. "Il faut jouer des coudes pour être devant" lance, euphorique cette belle métisse à son compagnon. Cris et agitation du public redoublent à l’entrée de l'Artiste. Le "jumeau" de Youssou, MBaye Dièye Faye annonce plus d'une vingtaine de chansons installant du coup une véritable ferveur du public. L'ambiance est indescriptible. Les téléphones sont spontanément allumés pour immortaliser l'entrée sur scène de "You".
Dès son apparition, le public redouble ses cris et ses applaudissements. Les écrans géants diffusent des images de la foule. La masse dense se "décharge" par la...danse dès les premières notes du fameux Birima superbement revu et corrigé. Normal, serait-on tenté de dire eu égard au professionnalisme de "You" et de son mythique groupe.
En un mot, pour avoir blanchis sous le harnais, l'enfant prodige de la Médina et son orchestre connaissent sur le bout des doigts les sensations euphorisantes que procure un concert en tout point réussi.
Ils jouent bien. Le public, qui se trémousse à qui mieux-mieux ,est conquis et le son est tout simplement...nickel pour paraphraser l'autre.
L'Artiste n'a apparemment pas le temps de jeter un oeil sur le setlist . Le riche répertoire du Super Etoile s'enchaine. Les refrains sont repris en chœur par le public qui lève les bras ou a les poings levés. "You", dans ses légendaires balades, se déplace agilement à l'image d'un acrobate,d'un bout à l'autre. Il touche les mains, salue quelques fans, se permet des selfies avec certains veinards, lance des sourires à d'autres, certainement de veilles connaissances, fait chanter le public...
Ceux et celles qui sont massés devant la scène semblent plus réceptifs à la prestation du Super Etoile. Les autres installés au loge VIP, font, comme disait l'autre, le gros dos, disons plutôt qu' ils sont plus modérés et discrets. Ils bougent simplement la tête ou tape du pied. Mais, les "VIP" finissent par se lever avant de fusionner avec la foule de devant. On sent "ce plaisir d'être la" du public.
You, dégoulinant de sueurs, est porté par la voix unique de ses inconditionnels qu’il a réussi à fédérer. Il crée une osmose . Chacun semble se perdre dans l’autre. Le public vit au rythme de la musique.
Sachant que la voix est un instrument exceptionnel, le patron de King Médias module comme pas deux son timbre assez rare sur plusieurs registres de ton. Les intonations qu'il "offre" dans "Ndiadiane Ndiaye" berce l'auditoire. L'ambiance devient différente. Des couples s'enlacent. Le public est dans le trip.
En un mot, comme en mille, You, qui garde la même pêche de ses vingt ans, a encore démontré qu'il reste le roi du Mbalax.
L’attente qui a duré depuis l’achat des billets est oubliée une fois que les individus sont réunis autour de la scène. Ce qui compte est ce qui se passe dans le temps présent, le temps du concert.
L'horloge affiche déjà 21 heures. Le King Fahd est quasiment complet.Sous le grand chapiteau "planté", pour la circonstance, sur l'esplanade de ce cadre enchanteur de l'hôtel King Fahd, une foule devenue au fur et à mesure compacte, suit ébahi les exploits des animateurs du dernier bébé de Futurs Médias , la radio King Fm.
Selon les affinités, entre amis, parents, sympathisants... le beautiful people se divertit déjà, consomme autour des buvettes bref, se délasse en attendant l'arrivée de celui qui a su imposer suprématie à l'échelle de la planète.
Après quelques heures d'attente, "You" et le Super Etoile sont annoncés. C'est l'effervescence. "Il faut jouer des coudes pour être devant" lance, euphorique cette belle métisse à son compagnon. Cris et agitation du public redoublent à l’entrée de l'Artiste. Le "jumeau" de Youssou, MBaye Dièye Faye annonce plus d'une vingtaine de chansons installant du coup une véritable ferveur du public. L'ambiance est indescriptible. Les téléphones sont spontanément allumés pour immortaliser l'entrée sur scène de "You".
Dès son apparition, le public redouble ses cris et ses applaudissements. Les écrans géants diffusent des images de la foule. La masse dense se "décharge" par la...danse dès les premières notes du fameux Birima superbement revu et corrigé. Normal, serait-on tenté de dire eu égard au professionnalisme de "You" et de son mythique groupe.
En un mot, pour avoir blanchis sous le harnais, l'enfant prodige de la Médina et son orchestre connaissent sur le bout des doigts les sensations euphorisantes que procure un concert en tout point réussi.
Ils jouent bien. Le public, qui se trémousse à qui mieux-mieux ,est conquis et le son est tout simplement...nickel pour paraphraser l'autre.
L'Artiste n'a apparemment pas le temps de jeter un oeil sur le setlist . Le riche répertoire du Super Etoile s'enchaine. Les refrains sont repris en chœur par le public qui lève les bras ou a les poings levés. "You", dans ses légendaires balades, se déplace agilement à l'image d'un acrobate,d'un bout à l'autre. Il touche les mains, salue quelques fans, se permet des selfies avec certains veinards, lance des sourires à d'autres, certainement de veilles connaissances, fait chanter le public...
Ceux et celles qui sont massés devant la scène semblent plus réceptifs à la prestation du Super Etoile. Les autres installés au loge VIP, font, comme disait l'autre, le gros dos, disons plutôt qu' ils sont plus modérés et discrets. Ils bougent simplement la tête ou tape du pied. Mais, les "VIP" finissent par se lever avant de fusionner avec la foule de devant. On sent "ce plaisir d'être la" du public.
You, dégoulinant de sueurs, est porté par la voix unique de ses inconditionnels qu’il a réussi à fédérer. Il crée une osmose . Chacun semble se perdre dans l’autre. Le public vit au rythme de la musique.
Sachant que la voix est un instrument exceptionnel, le patron de King Médias module comme pas deux son timbre assez rare sur plusieurs registres de ton. Les intonations qu'il "offre" dans "Ndiadiane Ndiaye" berce l'auditoire. L'ambiance devient différente. Des couples s'enlacent. Le public est dans le trip.
En un mot, comme en mille, You, qui garde la même pêche de ses vingt ans, a encore démontré qu'il reste le roi du Mbalax.