Les avis divergent au sein des libanais établis sous nos cieux. Si certains trouvent que le plaignant a des raisons de porter cette affaire devant Dame Justice, d'autres croient savoir que cette transaction qui a mal tourné pouvait se régler entre parents originaires de la même communauté.
De l'économie de cette affaire , qui occupe les débats dans les milieux huppés et autres chaumières, il ressort qu' Hussein Badaoui a esté en justice pour escroquerie et abus de confiance portant sur la somme de plus de 41 millions cfa. Il nous revient que Badaoui a livré de la marchandise, précisément du matériel de construction pour une valeur estimée, selon nos sources à presque 72 millions cfa.
Il a été alors convenu entre parties contractantes un délai de paiement de 45 jours, mais Ryad Abourizk n'a pu respecter son engagement. En clair, à date échue, ce dernier n'a versé que la somme de 20 millions cfa. Relancé par son créancier, Abourizk émet alors trois chèques qui sont revenus impayés.
Interpelé sur la situation, c'est à dire les chèques en bois, Abourizk promettra encore de les régler sous huitaine. A date échue, il disparaitra et restera injoignable.
C'est ainsi qu'Hussein Badoui s'attache les services d'un huissier aux fins, nous souffle t'on, de procéder à la saisie de son matériel. Mais, c'était peine perdue. Car, à l'adresse indiquée lors de la livraison, l'huissier ne trouvera même pas une...mouche. Pour ainsi dire que le local, servant de dépot était vide au moment où l'huissier s'y est présenté avec son escorte.
Aux dernières nouvelles, Ryad Abourizk, qui avait entre temps quitté le Sénégal pour se rendre en France a déféré à une convocation des enquêteurs. Il a balayé d'un revers de main les accusations contre lui arguant que le retard dans le paiement de l'ardoise serait du à des ennuis de trésorerie.
L'affaire étant loin de connaitre son épilogue, dakarposte, qui a ses radars partout, vous promet d'y revenir!
De l'économie de cette affaire , qui occupe les débats dans les milieux huppés et autres chaumières, il ressort qu' Hussein Badaoui a esté en justice pour escroquerie et abus de confiance portant sur la somme de plus de 41 millions cfa. Il nous revient que Badaoui a livré de la marchandise, précisément du matériel de construction pour une valeur estimée, selon nos sources à presque 72 millions cfa.
Il a été alors convenu entre parties contractantes un délai de paiement de 45 jours, mais Ryad Abourizk n'a pu respecter son engagement. En clair, à date échue, ce dernier n'a versé que la somme de 20 millions cfa. Relancé par son créancier, Abourizk émet alors trois chèques qui sont revenus impayés.
Interpelé sur la situation, c'est à dire les chèques en bois, Abourizk promettra encore de les régler sous huitaine. A date échue, il disparaitra et restera injoignable.
C'est ainsi qu'Hussein Badoui s'attache les services d'un huissier aux fins, nous souffle t'on, de procéder à la saisie de son matériel. Mais, c'était peine perdue. Car, à l'adresse indiquée lors de la livraison, l'huissier ne trouvera même pas une...mouche. Pour ainsi dire que le local, servant de dépot était vide au moment où l'huissier s'y est présenté avec son escorte.
Aux dernières nouvelles, Ryad Abourizk, qui avait entre temps quitté le Sénégal pour se rendre en France a déféré à une convocation des enquêteurs. Il a balayé d'un revers de main les accusations contre lui arguant que le retard dans le paiement de l'ardoise serait du à des ennuis de trésorerie.
L'affaire étant loin de connaitre son épilogue, dakarposte, qui a ses radars partout, vous promet d'y revenir!