Le débat politique et les sorties au vitriol obstruent les exploits économiques réalisés par Macky Sall. Le rapport de la Banque mondiale indique que le Sénégal a fait de grands bonds en avant. La facilitation de l’enregistrement des titres de propriété, l’opérationnalisation d’un nouveau bureau de crédit, la réduction des couts relatifs au paiement des impôts, sont entre autres autant de réformes exécutées par Macky Sall, qui ont permis ces performances.
Mais ces prouesses économiques passent inaperçues à cause de la primauté accordée au débat politique. Pourtant, le budget du Sénégal est en hausse, étant arrêté, cette année, à plus de 3.000 milliards et continue d’être financé en grande partie par des ressources internes. Le Plan Sénégal Emergent, référentiel économique et social à court et long terme, est sur une bonne orbite.
Sur le plan social, les innovations sont nombreuses : bourses de sécurité familiale dotée de 30 milliards par an, Couverture Maladie Universelle, baisse de la fiscalité sur les salaires qui, conséquemment, les hausse et participe à l’amélioration du pouvoir d’achat, baisse du loyer qui soutient les ménages dépourvus de toits qui leur sont propres, baisse de l’inflation et surtout baisse du prix de l’électricité avec les effets de la Centrale photovoltaïque de Bokhol récemment inaugurée. Mieux, le pôle de Diamniadio est l’un des exploits urbains et infrastructurels majeurs réalisés par Macky Sall.
Mais toutes ces prouesses passent inaperçues et les Sénégalais y sont indifférents en raison d’une communication présidentielle désastreuse parce que plus politicienne que technocratique.
Mais, à côté de ces performances économiques, une sobriété de la gouvernance, une modestie des gens du pouvoir et une sanction des prédateurs, de quelle que appartenance politique qu’ils soient, sont des actes que Macky Sall devrait poser au moyen d’une concluante communication gouvernementale qui lui permettrait de jouir d’un halo de bâtisseur qui réalise. Mais, la politique politicienne obstrue toute son œuvre.
La communication gouvernementale est défectueuse. Macky Sall a plus de polémistes que de speakeurs pertinents.
Les erreurs politiques commises dans le sillage de sempiternelles querelles politiciennes, les assauts d’une opposition décidée en en découdre, les alertes préoccupantes de la société civile et l’insoutenable arrogance des gens du pouvoir, sont tels que toutes les attentions des Sénégalais sont exclusivement axées sur la personne de Macky Sall et non sur son œuvre.
Alors que les Sénégalais se lamentent d’un train de vie dispendieux de l’Etat et des Institutions, Moustapha Niasse, Président de l’Assemblée nationale, se paie le luxe d’une bagnole de presque 100.000.000 de francs cfa, provoquant une ire nationale.
Ces impairs nombreux font que les performances économiques et sociales de Macky Sall sont imperceptibles et pour une très grande majorité des citoyens, ce pays ne bouge pas. « Rewmi dafa Macky », ou simplement le Sénégal n’avance pas, est l’aphorisme caricatural qui lui en implique, à tort ou à raison, toute la responsabilité.
La transhumance politique qu’il adoube est dépréciée. Le clientélisme maraboutique est très mal vu. Les plus de 14 millions de Sénégalais ne relèvent pas unanimement de l’obédience confrérique et l’écrasante majorité des électeurs ne sont point soumis à des insignes ou des influences maraboutiques.
Le défi principal que Macky Sall doit relever, est de faire communiquer intelligemment sur son œuvre. C’est pour lui une urgence politique car le temps presse et passe.
Certes le pays n’est pas en chaos grâce à des technocrates de l’économie qui le tiennent en bon équilibre et réalisent des performances économiques et sociale. Mais le pouvoir s’attarde sur la polémique politicienne et sur des coups bas qui lui donnent une image monstrueuse et non le faciès d’un régime bâtisseur qui, pourtant, pourtant et pourtant réussit des prouesses.
Le Piroguier
Mais ces prouesses économiques passent inaperçues à cause de la primauté accordée au débat politique. Pourtant, le budget du Sénégal est en hausse, étant arrêté, cette année, à plus de 3.000 milliards et continue d’être financé en grande partie par des ressources internes. Le Plan Sénégal Emergent, référentiel économique et social à court et long terme, est sur une bonne orbite.
Sur le plan social, les innovations sont nombreuses : bourses de sécurité familiale dotée de 30 milliards par an, Couverture Maladie Universelle, baisse de la fiscalité sur les salaires qui, conséquemment, les hausse et participe à l’amélioration du pouvoir d’achat, baisse du loyer qui soutient les ménages dépourvus de toits qui leur sont propres, baisse de l’inflation et surtout baisse du prix de l’électricité avec les effets de la Centrale photovoltaïque de Bokhol récemment inaugurée. Mieux, le pôle de Diamniadio est l’un des exploits urbains et infrastructurels majeurs réalisés par Macky Sall.
Mais toutes ces prouesses passent inaperçues et les Sénégalais y sont indifférents en raison d’une communication présidentielle désastreuse parce que plus politicienne que technocratique.
Mais, à côté de ces performances économiques, une sobriété de la gouvernance, une modestie des gens du pouvoir et une sanction des prédateurs, de quelle que appartenance politique qu’ils soient, sont des actes que Macky Sall devrait poser au moyen d’une concluante communication gouvernementale qui lui permettrait de jouir d’un halo de bâtisseur qui réalise. Mais, la politique politicienne obstrue toute son œuvre.
La communication gouvernementale est défectueuse. Macky Sall a plus de polémistes que de speakeurs pertinents.
Les erreurs politiques commises dans le sillage de sempiternelles querelles politiciennes, les assauts d’une opposition décidée en en découdre, les alertes préoccupantes de la société civile et l’insoutenable arrogance des gens du pouvoir, sont tels que toutes les attentions des Sénégalais sont exclusivement axées sur la personne de Macky Sall et non sur son œuvre.
Alors que les Sénégalais se lamentent d’un train de vie dispendieux de l’Etat et des Institutions, Moustapha Niasse, Président de l’Assemblée nationale, se paie le luxe d’une bagnole de presque 100.000.000 de francs cfa, provoquant une ire nationale.
Ces impairs nombreux font que les performances économiques et sociales de Macky Sall sont imperceptibles et pour une très grande majorité des citoyens, ce pays ne bouge pas. « Rewmi dafa Macky », ou simplement le Sénégal n’avance pas, est l’aphorisme caricatural qui lui en implique, à tort ou à raison, toute la responsabilité.
La transhumance politique qu’il adoube est dépréciée. Le clientélisme maraboutique est très mal vu. Les plus de 14 millions de Sénégalais ne relèvent pas unanimement de l’obédience confrérique et l’écrasante majorité des électeurs ne sont point soumis à des insignes ou des influences maraboutiques.
Le défi principal que Macky Sall doit relever, est de faire communiquer intelligemment sur son œuvre. C’est pour lui une urgence politique car le temps presse et passe.
Certes le pays n’est pas en chaos grâce à des technocrates de l’économie qui le tiennent en bon équilibre et réalisent des performances économiques et sociale. Mais le pouvoir s’attarde sur la polémique politicienne et sur des coups bas qui lui donnent une image monstrueuse et non le faciès d’un régime bâtisseur qui, pourtant, pourtant et pourtant réussit des prouesses.
Le Piroguier