La pénurie d’eau persiste à Ouakam Extension. Depuis un mois, cette zone recherche en vain l’or bleu. Les populations râlent. Même si la Sénégalaise des eaux (Sde) y a acheminé des camions citerne, pour parer au plus pressé. Mais une qualité de l’eau qui laisse à désirer…
“C’est inacceptable, c’est scandaleux, un spectacle indigne”, ressassent, sur la Rfm, les populations dépitées par les agissement de la Sde.
“Nous ne pouvons plus, ils ont l’obligation d’assurer la continuité du service. Honte à la Sde, honte à son directeur général. Nous n’arrêtons pas d’appeler la Sde et ils ne font absolument rien. Ils doivent mobiliser suffisamment d’équipes pour régler définitivement ce problème. On ne peut pas rester, pendant 4 semaine sans eau ici à Dakar, au 21e siècle. Alors qu’on nous parle de Sénégal émergent. On a l’impression que nous vivons dans le désert du Sahara”, peste Mactar Camara, un habitant du quartier.
Pour la Sénégalaise des eaux, le problème s’explique par les populations de Ouakam et les Mamelles qui continuent d’habiter en hauteur et par conséquent, les maisons sont plus hautes que les réserves d’eau. Des réserves d’eaux qui empruntent une vielle conduite.
Pour les solutions, note Diéry Bâ, directeur de l’exploitation de la Sde, le déplacement de la vielle conduite et la construction d’un autre forage pour renforcer la zone ont été retenus.
“C’est inacceptable, c’est scandaleux, un spectacle indigne”, ressassent, sur la Rfm, les populations dépitées par les agissement de la Sde.
“Nous ne pouvons plus, ils ont l’obligation d’assurer la continuité du service. Honte à la Sde, honte à son directeur général. Nous n’arrêtons pas d’appeler la Sde et ils ne font absolument rien. Ils doivent mobiliser suffisamment d’équipes pour régler définitivement ce problème. On ne peut pas rester, pendant 4 semaine sans eau ici à Dakar, au 21e siècle. Alors qu’on nous parle de Sénégal émergent. On a l’impression que nous vivons dans le désert du Sahara”, peste Mactar Camara, un habitant du quartier.
Pour la Sénégalaise des eaux, le problème s’explique par les populations de Ouakam et les Mamelles qui continuent d’habiter en hauteur et par conséquent, les maisons sont plus hautes que les réserves d’eau. Des réserves d’eaux qui empruntent une vielle conduite.
Pour les solutions, note Diéry Bâ, directeur de l’exploitation de la Sde, le déplacement de la vielle conduite et la construction d’un autre forage pour renforcer la zone ont été retenus.