L'invalidation (provisoire) des candidatures de Karim Wade et Khalifa Ababacar Sall par le Conseil constitutionnel n'est pas surprenant. Si l'on se réfère aux propos du journaliste politologue, Yoro Dia, la justice sénégalaise est depuis très longtemps le maillon faible de la démocratie. En effet, à travers une démarche analytique, le spécialiste en politique décortique les failles du Conseil constitutionnel. Et avance que « les juges se contentent de constater les rapports de force et de donner des cautions légales. » À l'en croire ceci n'est pas une première fois, raison pour laquelle la démocratie Sénégalaise donne l'impression d'un perpétuel recommencement.
Ainsi, l'analyste politologue, dans sa logique, estime que l'actuelle opposition est tombée dans le piège de Macky Sall. Qui, depuis deux ans durant, les a nargué à travers une distraction stratégique.
Et aujourd'hui, organiser une élection présidentielle sans la participation du Parti démocratique sénégalais (Pds) et du Parti socialiste (Ps) n'est rien d'autre, pour Yoro Dia, que la fermeture d'une grande page de l'histoire politique sénégalaise. Qui précise « qu'une élection n'est jamais gagnée d'avance... »
Ainsi, l'analyste politologue, dans sa logique, estime que l'actuelle opposition est tombée dans le piège de Macky Sall. Qui, depuis deux ans durant, les a nargué à travers une distraction stratégique.
Et aujourd'hui, organiser une élection présidentielle sans la participation du Parti démocratique sénégalais (Pds) et du Parti socialiste (Ps) n'est rien d'autre, pour Yoro Dia, que la fermeture d'une grande page de l'histoire politique sénégalaise. Qui précise « qu'une élection n'est jamais gagnée d'avance... »