Voici PAPE MOR DJITÉ
Information dakarposte! En effet, de sources sûres, au fait de ce qui se trame dans le redouté milieu judiciaire, il nous revient que pas moins de 8 affaires sont enrolées pour l'audience de la Chambre Criminelle prévue le 7 février prochain. Mais, le "cas Pape Mor Djité", procès tant attendu, fera, à n'en point douter les choux gras de la presse.
Réputé "super dangereux", Pape Mor Djité, qui a eu à se tailler de la prison de Rebeuss avant d'être encore cravaté, avait nous souffle t'on, saisi l'opportunité d'une visite médicale au pavillon spécial de l'hôpital Le Dantec pour se perdre dans la nature. "Le pauvre maton, en charge de sa surveillance, n'y a vu que du feu; tellement rusé Pape Mor Djité avait réussi à le semer" nous apprend cette source au fait de l'évasion spectaculaire de Djité. Qui sera donc devant la barre au même titre que l'un de ses présumés complices, un certain Talla Diassé.
Des informations en notre possession, ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinat, recel de malfaiteurs et non-dénonciation d’un crime.
Dakarposte, vous promet le film de ce procès tant attendu
Pour rappel, nos confrères du Témoin avait titré dans une de leur édition en Juin 2015: "Fin de cavale pour l’assassin du concessionnaire de véhicules, Bitèye Kounta".
Dans l'article en question, il a été écrit: "Pape Mor Djité a été arrêté à Nouakchott la capitale Mauritanienne après quatre ans de cavale. Il s’était évadé de l’hôpital le Dantec après avoir trompé la vigilance des gardes pénitentiaires qui l’escortaient.
Liés par une coopération policière, Interpol-Dakar et Interpol Nouakchott s’activent pour que le bandit soit extradé vers le Sénégal.
Bitèye Kounta Ndiaye, le vendeur de véhicule avait été enlevé au bord de sa voiture (une Porsche) à Dakar et assassiné par strangulation derrière l’Ecole polytechnique de Thiès en mai 2011. Une bande de sept garçons dont la moyenne d’âge est d’environ 35 ans : Pape Mor Djité, Tidiane Cissé, Momar Camara, Ansou Dianté, Talla Diassé, Mamadou Guèye et Magueye Guèye avaient été arrêtés par les éléments de la DIC.
Pape Mor Djité serait l’auteur principal du meurtre. Ses complices ont révélé aux enquêteurs que le sieur Djité aurait étranglé à mort Bitèye Kounta Ndiaye (62 ans), avec la cravate qu’il portait ce matin-là au moment de sortir de chez lui. Pour aller répondre à un coup de fil d’un potentiel acheteur de véhicule.
Une fois le vendeur de véhicule décédé, l’escadron de la mort avait traîné le corps sans vie de l’ex-vendeur de voitures à la Cité Damel de Dakar (en face du complexe Yeugoulène de la Cité Nord-Foire) jusqu’aux abords de l’école Polytechnique de Thiès, avant d’y jeter le cadavre. Ils croyaient avoir réussi le crime parfait. Mais, c’était sans compter avec les policiers enquêteurs de la Dic auxquels l’enquête a été confiée au détriment du commissariat de Dieuppeul à cause de sa compétence géographique limitée. 48 heures après la disparition de Bitèye Kounta Ndiaye, les hommes du commissaire Idrissa Cissé avaient réussi à arrêter le cerveau de la bande à la frontière du Sénégal et de la Guinée à bord de la voiture volée. Une fois dans les locaux de la Dic, il lâche le morceau en avouant l’acte criminel et balance ses acolytes. Quelques heures plus tard, la Dic était parvenu à arrêter toute la bande des sept".
Réputé "super dangereux", Pape Mor Djité, qui a eu à se tailler de la prison de Rebeuss avant d'être encore cravaté, avait nous souffle t'on, saisi l'opportunité d'une visite médicale au pavillon spécial de l'hôpital Le Dantec pour se perdre dans la nature. "Le pauvre maton, en charge de sa surveillance, n'y a vu que du feu; tellement rusé Pape Mor Djité avait réussi à le semer" nous apprend cette source au fait de l'évasion spectaculaire de Djité. Qui sera donc devant la barre au même titre que l'un de ses présumés complices, un certain Talla Diassé.
Des informations en notre possession, ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinat, recel de malfaiteurs et non-dénonciation d’un crime.
Dakarposte, vous promet le film de ce procès tant attendu
Pour rappel, nos confrères du Témoin avait titré dans une de leur édition en Juin 2015: "Fin de cavale pour l’assassin du concessionnaire de véhicules, Bitèye Kounta".
Dans l'article en question, il a été écrit: "Pape Mor Djité a été arrêté à Nouakchott la capitale Mauritanienne après quatre ans de cavale. Il s’était évadé de l’hôpital le Dantec après avoir trompé la vigilance des gardes pénitentiaires qui l’escortaient.
Liés par une coopération policière, Interpol-Dakar et Interpol Nouakchott s’activent pour que le bandit soit extradé vers le Sénégal.
Bitèye Kounta Ndiaye, le vendeur de véhicule avait été enlevé au bord de sa voiture (une Porsche) à Dakar et assassiné par strangulation derrière l’Ecole polytechnique de Thiès en mai 2011. Une bande de sept garçons dont la moyenne d’âge est d’environ 35 ans : Pape Mor Djité, Tidiane Cissé, Momar Camara, Ansou Dianté, Talla Diassé, Mamadou Guèye et Magueye Guèye avaient été arrêtés par les éléments de la DIC.
Pape Mor Djité serait l’auteur principal du meurtre. Ses complices ont révélé aux enquêteurs que le sieur Djité aurait étranglé à mort Bitèye Kounta Ndiaye (62 ans), avec la cravate qu’il portait ce matin-là au moment de sortir de chez lui. Pour aller répondre à un coup de fil d’un potentiel acheteur de véhicule.
Une fois le vendeur de véhicule décédé, l’escadron de la mort avait traîné le corps sans vie de l’ex-vendeur de voitures à la Cité Damel de Dakar (en face du complexe Yeugoulène de la Cité Nord-Foire) jusqu’aux abords de l’école Polytechnique de Thiès, avant d’y jeter le cadavre. Ils croyaient avoir réussi le crime parfait. Mais, c’était sans compter avec les policiers enquêteurs de la Dic auxquels l’enquête a été confiée au détriment du commissariat de Dieuppeul à cause de sa compétence géographique limitée. 48 heures après la disparition de Bitèye Kounta Ndiaye, les hommes du commissaire Idrissa Cissé avaient réussi à arrêter le cerveau de la bande à la frontière du Sénégal et de la Guinée à bord de la voiture volée. Une fois dans les locaux de la Dic, il lâche le morceau en avouant l’acte criminel et balance ses acolytes. Quelques heures plus tard, la Dic était parvenu à arrêter toute la bande des sept".