Le résultat est sans surprise. Selon le sondage de l'institut officiel Vtsiom annoncé à la télévision d'État, Vladimir Poutine a été réélu président pour un cinquième mandat avec 87% des suffrages ce dimanche 17 mars.
Des résultats préliminaires, portant sur environ 40% des bureaux de vote, donnent pour l'heure un résultat proche, avec 87,34% des voix exprimées en faveur du maître du Kremlin, a de son côté annoncé la Commission électorale russe.
Si ce score venait à se confirmer à l'issue du dépouillement, il s'agirait d'un record pour celui qui avait recueilli 77% des voix lors de la précédente élection présidentielle en 2018.
Un troisième mandat consécutif
Élu pur la première fois président de la fédération de Russie en 2000 puis réélu en 2004, il avait dû passer la main à son Premier ministre Dmitri Medvedev en 2008 car il ne pouvait pas briguer de troisième mandat consécutif à l'époque.
Ce verrou ayant sauté depuis, Vladimir Poutine a pu de nouveau se présenter cette année après être sorti vainqueur du scrutin présidentiel en 2012 et en 2018.
L'issue du scrutin ne faisait guère de doute en l'absence de rival crédible parmi les trois autres candidats, d'autant que le principal opposant au président russe, Alexeï Navalny, est mort en détention le mois dernier. Les partisans d'Alexeï Navalny avaient appelé les Russes à un "midi contre Poutine", en se rendant tous en milieu de journée dans les bureaux de vote.
Zélensky dénonce un scrutin n'ayant "aucune légétimité"
"Les pourcentages inventés pour Poutine n'ont évidemment pas de lien avec la réalité. Cela ne vaut pas la peine d'en parler", a immédiatement réagi sur X (ex-Twitter) Leonid Volkov, ex-bras droit en exil d'Alexeï Navalny.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a quant à lui estimé que cette élection n'avait "aucune légitimité". "Il est clair pour tout le monde que ce personnage, comme cela s'est produit si souvent dans l'histoire, est tout simplement ivre de pouvoir et fait tout ce qu'il peut pour régner éternellement", a-t-il déclaré dans un message sur les réseaux sociaux
Des résultats préliminaires, portant sur environ 40% des bureaux de vote, donnent pour l'heure un résultat proche, avec 87,34% des voix exprimées en faveur du maître du Kremlin, a de son côté annoncé la Commission électorale russe.
Si ce score venait à se confirmer à l'issue du dépouillement, il s'agirait d'un record pour celui qui avait recueilli 77% des voix lors de la précédente élection présidentielle en 2018.
Un troisième mandat consécutif
Élu pur la première fois président de la fédération de Russie en 2000 puis réélu en 2004, il avait dû passer la main à son Premier ministre Dmitri Medvedev en 2008 car il ne pouvait pas briguer de troisième mandat consécutif à l'époque.
Ce verrou ayant sauté depuis, Vladimir Poutine a pu de nouveau se présenter cette année après être sorti vainqueur du scrutin présidentiel en 2012 et en 2018.
L'issue du scrutin ne faisait guère de doute en l'absence de rival crédible parmi les trois autres candidats, d'autant que le principal opposant au président russe, Alexeï Navalny, est mort en détention le mois dernier. Les partisans d'Alexeï Navalny avaient appelé les Russes à un "midi contre Poutine", en se rendant tous en milieu de journée dans les bureaux de vote.
Zélensky dénonce un scrutin n'ayant "aucune légétimité"
"Les pourcentages inventés pour Poutine n'ont évidemment pas de lien avec la réalité. Cela ne vaut pas la peine d'en parler", a immédiatement réagi sur X (ex-Twitter) Leonid Volkov, ex-bras droit en exil d'Alexeï Navalny.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a quant à lui estimé que cette élection n'avait "aucune légitimité". "Il est clair pour tout le monde que ce personnage, comme cela s'est produit si souvent dans l'histoire, est tout simplement ivre de pouvoir et fait tout ce qu'il peut pour régner éternellement", a-t-il déclaré dans un message sur les réseaux sociaux