La panique a fini par s'installer au plus haut sommet de l'Etat avec la suspension non motivée de l'inspecteur des Impôts et Président du parti PASTEF.
Et pourtant cette question aurait été facile à gérer sous d'autres cieux mais la hiérarchie voulait coûte que coûte en découdre avec celui qui avait osé mettre sur la place publique le scabreux dossier du non reversement des Impôts de la deuxième institution du pays ou la destination des biens saisis sur Karim Wade et ses coaccusés, biens qui seraient cédés à des proches du Président de la république.
Selon des collègues d'Ousmane Sonko, son bureau a été nuitamment visité ainsi que son ordinateur et des consignes fermes données aux préposés à la sécurité d'interdire l'accès des locaux de la DGID à ce dernier.
C'est fort de ces informations que le syndicat -maison a décidé de commettre un huissier aux fins de constater toute entrave à l'accession de son bureau par l'inspecteur des Impôts.
Pour en revenir à la mesure prise à l'encontre du leader de PASTEF, certains de ces collègues craignent que cela soit l'occasion rêvée pour ouvrir la boite à pandores car en le suspendant la hiérarchie permet à Ousmane Sonko de donner libre cours à sa stratégie car n'ayant plus aucune contrainte sur la tête. Et pire nous chuchote un Contrôleur des Impôts qui voit à travers cette sanction irresponsable un moyen de promouvoir l'amitié, la camaraderie au profit du mérite. Et pour appuyer son argumentaire Mr Aly dénonce le fait que depuis 16 ans, la DGID est devenue l'agence d'embauche de la Présidence de la République car la moitié du personnel est ce que l'on peut appeler clientèle politique sans aucune référence professionnelle.
Et ce qui heurte dans cette décision immorale est que les militants de l'APR,également fonctionnaires des Impôts posent régulièrement des actes politiques pouvant aller jusqu'à la compromission sans être inquiétés et même reçoivent des promotions qui ne cadrent pas avec leurs états de services.
Une chose est sure, c'est qu'au delà du leader du PASTEF, nombreux sont ces cadres de la DGID qui saisiront cette occasion pour redorer le blason de cette institution qu'on a voulu donner pieds et poings liés au parti au pouvoir
Et pourtant cette question aurait été facile à gérer sous d'autres cieux mais la hiérarchie voulait coûte que coûte en découdre avec celui qui avait osé mettre sur la place publique le scabreux dossier du non reversement des Impôts de la deuxième institution du pays ou la destination des biens saisis sur Karim Wade et ses coaccusés, biens qui seraient cédés à des proches du Président de la république.
Selon des collègues d'Ousmane Sonko, son bureau a été nuitamment visité ainsi que son ordinateur et des consignes fermes données aux préposés à la sécurité d'interdire l'accès des locaux de la DGID à ce dernier.
C'est fort de ces informations que le syndicat -maison a décidé de commettre un huissier aux fins de constater toute entrave à l'accession de son bureau par l'inspecteur des Impôts.
Pour en revenir à la mesure prise à l'encontre du leader de PASTEF, certains de ces collègues craignent que cela soit l'occasion rêvée pour ouvrir la boite à pandores car en le suspendant la hiérarchie permet à Ousmane Sonko de donner libre cours à sa stratégie car n'ayant plus aucune contrainte sur la tête. Et pire nous chuchote un Contrôleur des Impôts qui voit à travers cette sanction irresponsable un moyen de promouvoir l'amitié, la camaraderie au profit du mérite. Et pour appuyer son argumentaire Mr Aly dénonce le fait que depuis 16 ans, la DGID est devenue l'agence d'embauche de la Présidence de la République car la moitié du personnel est ce que l'on peut appeler clientèle politique sans aucune référence professionnelle.
Et ce qui heurte dans cette décision immorale est que les militants de l'APR,également fonctionnaires des Impôts posent régulièrement des actes politiques pouvant aller jusqu'à la compromission sans être inquiétés et même reçoivent des promotions qui ne cadrent pas avec leurs états de services.
Une chose est sure, c'est qu'au delà du leader du PASTEF, nombreux sont ces cadres de la DGID qui saisiront cette occasion pour redorer le blason de cette institution qu'on a voulu donner pieds et poings liés au parti au pouvoir