Suite au limogeage du désormais ex ministre de l’énergie et du développement des énergies renouvelables, le leader du Pastef-Les Patriotes, Ousmane Sonko s’est exprimé sur le renvoie de Thierno Alassane Sall. Pour l’ancien inspecteur des impôts et domaines cela était prévisible.
« La démission du ministre Thierno Alassane Sall n’est pas une surprise. Nous disions à PASTEF qu’il était l’un des rares ministres de la galaxie beige marron qui semblait avoir des valeurs intellectuelles et morales intactes. Évidemment, avec de telles dispositions, il est impossible de faire long feu dans cette gouvernance sombre et vicieuse » a posté le leader de pastef sur internet.
Poursuivant, Sonko note qu’au delà, ce qu’il faut en tirer, c’est que la ligne de démarcation aujourd’hui n’est plus entre gauche et droite, pouvoir et opposition, politiques et non partisans.
« Elle est plutôt entre les hommes et femmes imbus des valeurs d’altruisme, d’intérêt général et de don de soi pour la patrie, et les prébendiers étatiques tapis dans un système pernicieux. Et ces deux catégories, on les retrouve dans toutes les couches socioprofessionnelles: fonctionnaires, militaires, magistrats, acteurs politiques, activistes citoyens, religieux. », a-t-il ajouté.
Et de conclure: « Le Sénégal ne sortira de sa longue descente vers les ténèbres de la régression que lorsque ses fils et filles répondant aux critères de la première catégorie se seront retrouvés pour bouter le mal loin des responsabilités étatiques et sociétales. Au demeurant, les dix jours à venir s’annoncent palpitants. Wait and see… », a-t-il terminé.
« La démission du ministre Thierno Alassane Sall n’est pas une surprise. Nous disions à PASTEF qu’il était l’un des rares ministres de la galaxie beige marron qui semblait avoir des valeurs intellectuelles et morales intactes. Évidemment, avec de telles dispositions, il est impossible de faire long feu dans cette gouvernance sombre et vicieuse » a posté le leader de pastef sur internet.
Poursuivant, Sonko note qu’au delà, ce qu’il faut en tirer, c’est que la ligne de démarcation aujourd’hui n’est plus entre gauche et droite, pouvoir et opposition, politiques et non partisans.
« Elle est plutôt entre les hommes et femmes imbus des valeurs d’altruisme, d’intérêt général et de don de soi pour la patrie, et les prébendiers étatiques tapis dans un système pernicieux. Et ces deux catégories, on les retrouve dans toutes les couches socioprofessionnelles: fonctionnaires, militaires, magistrats, acteurs politiques, activistes citoyens, religieux. », a-t-il ajouté.
Et de conclure: « Le Sénégal ne sortira de sa longue descente vers les ténèbres de la régression que lorsque ses fils et filles répondant aux critères de la première catégorie se seront retrouvés pour bouter le mal loin des responsabilités étatiques et sociétales. Au demeurant, les dix jours à venir s’annoncent palpitants. Wait and see… », a-t-il terminé.