«C’est le taximan qui m’a vendu», raconte C.N, revenu fraîchement des Etats-Unis avec sa petite famille. «Nous étions sortis ma femme et moi pour nous rendre à un restaurant aux Almadies. Au retour, nous avons pris un taxi qui a commencé à appeler. Il parlait doucement. Une fois à quelques mètres de notre porte, il faisant semblant de chercher quelque chose, quand tout un coup, trois scooters arrivent sur les lieux. Les jeunes qui étaient à bord dégainent des coupe-coupe et obligent mon épouse à leur laisser mon sac», défend-il.
Un autre Dakarois raconte presque la même histoire. «Moi également, c’est le taxi qui j’avais pris qui m’a vendu aux agresseurs qui étaient à bord de scooters. C’était vers 3 heures du matin. Ils m’ont tout pris avant d’accélérer et de disparaître dans le noir. Je n’ai même pas eu le temps de prendre la plaque d’immatriculation du taxi», soutient Pape qui ajoute qu’il a désormais peur lorsqu’il prend un taxi tard dans la soirée. Les exemples font légion. Beaucoup de citoyens se sont fait agressés suite à la complicité de certains taximen, qui en réalité salissent un métier très noble.
Ce qui signifie que les vrais chauffeurs de taxis devront beaucoup aider les citoyens et surtout regarder les gens à qui ils confient leurs voitures les soirs. Appelés couramment ‘’sirou mane’’, tous ne sont si clean. Parmi eux, il y a des repris de justice qui n’ont pas encore enterré leur passé de brigands et l’exportent dans un métier où la sécurité doit être une véritable réalité.
A.Mbow (actunet.sn)
Un autre Dakarois raconte presque la même histoire. «Moi également, c’est le taxi qui j’avais pris qui m’a vendu aux agresseurs qui étaient à bord de scooters. C’était vers 3 heures du matin. Ils m’ont tout pris avant d’accélérer et de disparaître dans le noir. Je n’ai même pas eu le temps de prendre la plaque d’immatriculation du taxi», soutient Pape qui ajoute qu’il a désormais peur lorsqu’il prend un taxi tard dans la soirée. Les exemples font légion. Beaucoup de citoyens se sont fait agressés suite à la complicité de certains taximen, qui en réalité salissent un métier très noble.
Ce qui signifie que les vrais chauffeurs de taxis devront beaucoup aider les citoyens et surtout regarder les gens à qui ils confient leurs voitures les soirs. Appelés couramment ‘’sirou mane’’, tous ne sont si clean. Parmi eux, il y a des repris de justice qui n’ont pas encore enterré leur passé de brigands et l’exportent dans un métier où la sécurité doit être une véritable réalité.
A.Mbow (actunet.sn)