C'est un tsunami qui se profile à l'horizon politique, alerte "L'Observateur". Qui informe que l'une des grandes coalitions en compétition pour les législatives du 30 juillet 2017, est en danger d'invalidation.
La liste Mankoo Wattu Senegaal dirigée par l'ancien président Abdoulaye Wade souffre d'irrégularité. En effet, il apparaît, à la lecture de la liste proportionnelle (nationale), que le Pape du Sopi et ses alliés ont investi trois femmes aux 38e, 39e et 40e place,
respectivement, Nafissatou Touré, Néné Mané et Ndèye Seyni Ndiaye.
Cette situation, rappelle le journal, rompt d'avec le principe exigé sur les listes. D'ailleurs, le non-respect de la parité est un motif d'invalidation d'une liste. Une disposition alors intégrée dans la loi électorale par Me Abdoulaye Wade, lui-même, alors président de la République.
Au sein du Parti, l'on s'interroge sur cette légèreté qui peut conduire à l'invalidation de la liste. Le dernier cas de non-respect de la parité des listes a été décelé à Touba lors des Locales de 2014, mais elle a été acceptée, en dépit des remarques de la Commission électorale autonome ( Cena). A l'époque, aucune coalition n'a engagé ou n'avait voulu engagé un recours en annulation contre la liste confectionnée par le Khalife général des Mourides. A affaire à suivre.
La liste Mankoo Wattu Senegaal dirigée par l'ancien président Abdoulaye Wade souffre d'irrégularité. En effet, il apparaît, à la lecture de la liste proportionnelle (nationale), que le Pape du Sopi et ses alliés ont investi trois femmes aux 38e, 39e et 40e place,
respectivement, Nafissatou Touré, Néné Mané et Ndèye Seyni Ndiaye.
Cette situation, rappelle le journal, rompt d'avec le principe exigé sur les listes. D'ailleurs, le non-respect de la parité est un motif d'invalidation d'une liste. Une disposition alors intégrée dans la loi électorale par Me Abdoulaye Wade, lui-même, alors président de la République.
Au sein du Parti, l'on s'interroge sur cette légèreté qui peut conduire à l'invalidation de la liste. Le dernier cas de non-respect de la parité des listes a été décelé à Touba lors des Locales de 2014, mais elle a été acceptée, en dépit des remarques de la Commission électorale autonome ( Cena). A l'époque, aucune coalition n'a engagé ou n'avait voulu engagé un recours en annulation contre la liste confectionnée par le Khalife général des Mourides. A affaire à suivre.