La cour de cassation vient de confirmer l’ordonnance de non lieu prononcée par la Cour d’Appel de Paris, concernant l’affaire du Joola. En effet, la chambre d’appel estime que « attendu que s’il existe ainsi des charges suffisantes des chefs de la saisine, mais qu’en revanche, doit être constatée, pour les motifs exposés, l’existence d’une immunité de juridiction à l’égard de Babacar GAYE, Ousseynou KOMO, Moddy SIGUINE, Meïssa TAMBA, Youssouph SAKHO, Abdoul Hamid DIOP et Gomis DIEDHIOU qui fait obstacle à tout acte de poursuite à leur encontre. Dès lors, qu’il convient d’ordonner non lieu à suivre. »
Et selon le Coordinateur du Comité d’initiative pour l’érection du mémorial-musée le « Joola » la Cour d’Appel de Paris contredit la version du Procureur Général de Dakar qui a considéré que le seul responsable du drame était le commandant du bateau et par conséquent, classé l’affaire sans suite. Et que les personnes citées n’ont pas été innocentées ou blanchies. Elles ont tout simplement bénéficié de l’immunité de juridiction ou de privilèges dus à leurs rangs. La réouverture du dossier du Joola, ici au Sénégal, donnera l’opportunité à toutes les personnes nommément citées dans l’ordonnance rendue par la Cour d’Appel de Paris de laver leur honneur.
Nassardine AIDARA, coordinateur du comité ainsi d’inviter l’État du Sénégal à prendre ses responsabilités, à ré-ouvrir le dossier du Joola et à juger sans délais les présumés responsables. « L’ordonnance de non lieu de la Cour d’Appel de Paris et le rapport de la commission d’enquête technique présidée par monsieur Seydou Madani SY, médiateur de la république, ont énuméré suffisamment d’éléments et de preuves qui doivent inspirer la justice sénégalaise. Un tel drame, avec près de 2.000 morts ne peut rester impuni » conclut ‘il.
Et selon le Coordinateur du Comité d’initiative pour l’érection du mémorial-musée le « Joola » la Cour d’Appel de Paris contredit la version du Procureur Général de Dakar qui a considéré que le seul responsable du drame était le commandant du bateau et par conséquent, classé l’affaire sans suite. Et que les personnes citées n’ont pas été innocentées ou blanchies. Elles ont tout simplement bénéficié de l’immunité de juridiction ou de privilèges dus à leurs rangs. La réouverture du dossier du Joola, ici au Sénégal, donnera l’opportunité à toutes les personnes nommément citées dans l’ordonnance rendue par la Cour d’Appel de Paris de laver leur honneur.
Nassardine AIDARA, coordinateur du comité ainsi d’inviter l’État du Sénégal à prendre ses responsabilités, à ré-ouvrir le dossier du Joola et à juger sans délais les présumés responsables. « L’ordonnance de non lieu de la Cour d’Appel de Paris et le rapport de la commission d’enquête technique présidée par monsieur Seydou Madani SY, médiateur de la république, ont énuméré suffisamment d’éléments et de preuves qui doivent inspirer la justice sénégalaise. Un tel drame, avec près de 2.000 morts ne peut rester impuni » conclut ‘il.