« Quatre vieillards dans le vent » ! C’est un mini-film théâtral où des comédiens jouaient aux vieillards qui refusent de vieillir, entrant vite en scène quand résonne le Tama dont le timbre fait frémir tout habitué de guinguettes. Et comme ces « Quatre vieillards dans le vent » qui ne retiennent pas leurs jambes quand le Tama tonne, Niasse, Tanor et Djibo sont aussi Trois vieillards dans le vent qui ne se retiennent pas au clairon du pouvoir.
En politique, la boulimie trahit la morale et les principes. Si au théâtre, il y a « Quatre vieillards dans le vent », il y dans le Macky Trois vieillards le vent : Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, et Djibo Ka. Ils aiment le pouvoir et se montrent prêts à toutes les forfaitures pour y rester. Leur problème est d’être surclassés et surpassés, dépassés et déphasés.
Niasse, le vieux contre les « salopards »
Il est affectueux et ingénieux. Il a réussi la prouesse d’être le seul homme politique à avoir été de tous les régimes politiques qui ont gouverné le Sénégal depuis plus d’un demi-siècle. Cet exploit est unique en Afrique. Compagnon de Senghor, de Diouf, de Wade et puis de Macky, il se montre inassouvi, non en bourses monétaires car il en dispose, mais en cérémonial et en bienséances. Il reste un vieillard dans le vent car il aime les fastes et le confort. Il se singularise malheureusement par les rapports de force et les jeux violents. C’est la raison de cette image historique de l’ancien Ministre d’Etat brandissant un caillou, le 23 juin 2011, devant cette Assemblée nationale qu’il préside aujourd’hui. Son langage raffiné incline, selon les circonstances, vers la vulgarité surtout quand il a les nerfs tendus. Contre de prétendus éléments de Malick Gackou, il a dégainé, parlant d’ « imbéciles », de « salopards » ! Avec l’âge, il radote, dirait les psychologues.
Dans le Macky, il est apathique à cause de l’âge, indécis et dépensier avec cette luxurieuse voiture qu’il acheta. Pour rester, il use de ruse et prend le Macky en otage contre ceux qui revendiquent sa retraite et encombre.
Tanor, l’impopulaire perdant
Né dans un hameau, sorti de l’anonymat avec son accès au cœur de la Présidence de la République, sa date de naissance, 02 Janvier 1947, fait controverse. Elle semble approximative, l’état civil n’étant pas présent dans les cités rurales de l’époque coloniale. Ceux qui sont nés à la veille ou au lendemain de l’Indépendance, semblent l’indisposer, comme Khalifa Sall et « ses gosses » (sic) Barthélémy, Bamba et Idrissa Diallo. Mais son drame est d’être comme une poisse politique.
Taciturne tombeur de l’UPS-PS, son installation par effraction à la tête du parti s’est soldée par une spirale de revers électoral. Sa nomination à la Présidence de ce HCCT est mal vue. Elle a augmenté le discrédit contre Macky, pris comme le créateur d’une Institution bidon dont la vocation est de caser des Mackysards de boulevard. Aussi impopulaire que ce HCCT, Tanor n’a rien construit dans ce pays. Il sait administrer et ne sait rien bâtir. A Macky Sall et à l’APR, il apporterait plutôt une disgrâce électorale. Jamais élu, toujours nommé par supercherie, ce OTD, dirait Abdou Aziz Tall, ancien DG de la LONASE, est l’homme des Institutions de circonstances. Il est à la veille de l’âge de la prise de retraite politique de Léopold Sédar Senghor. Il a 70 ans, mais il refuse de vieillir pour bien profiter du Macky, comme son petit-frère Djibo.
Djibo, l’inutile du Macky
Il fut aussi de tous les régimes. Grand homme d’Etat pour ce qu’il fut, il est une négation de toute morale politique pour ce qu’il fit. Qu’il soit rénovateur ou nouveau Mackysard, il est l’incarnation entière du PS senghorien et dioufiste. L’usure du temps, l’érosion de la parole et la corrosion de son URD, le mettent sur la touche. Grâce à Aly Ngouille Ndiaye de Linguère, Macky Sall l’a installé à la tête d’une Commission nationale du Dialogue des Territoires pour qu’il ne s’engloutisse pas dans le néant. Mais l’éthique ne pilote pas son action politique. Il est un carnivore qui finit par mordre la main qui le sert.
Après s’être retourné contre Diouf, contre Wade et aujourd’hui contre Macky en ciblant Aly Ngouille qui a lourdement pesé pour son adoubement, Djibo ignore que la plume du vautour est plus lourde que son URD. Vieil homme du passé, il conspire contre ceux qui assument le renouvellement du personnel politique comme à Linguère. Hélas, son nom provoque aussi bien dans le Djolof que dans le reste du Sénégal, hilarité et dédain. Homme politique caduc, obsolète, il est inassouvi et en veut encore. Cette boulimie a altéré son URD identifiable à une ….Union du Reniement Démoniaque
Le Piroguier
En politique, la boulimie trahit la morale et les principes. Si au théâtre, il y a « Quatre vieillards dans le vent », il y dans le Macky Trois vieillards le vent : Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, et Djibo Ka. Ils aiment le pouvoir et se montrent prêts à toutes les forfaitures pour y rester. Leur problème est d’être surclassés et surpassés, dépassés et déphasés.
Niasse, le vieux contre les « salopards »
Il est affectueux et ingénieux. Il a réussi la prouesse d’être le seul homme politique à avoir été de tous les régimes politiques qui ont gouverné le Sénégal depuis plus d’un demi-siècle. Cet exploit est unique en Afrique. Compagnon de Senghor, de Diouf, de Wade et puis de Macky, il se montre inassouvi, non en bourses monétaires car il en dispose, mais en cérémonial et en bienséances. Il reste un vieillard dans le vent car il aime les fastes et le confort. Il se singularise malheureusement par les rapports de force et les jeux violents. C’est la raison de cette image historique de l’ancien Ministre d’Etat brandissant un caillou, le 23 juin 2011, devant cette Assemblée nationale qu’il préside aujourd’hui. Son langage raffiné incline, selon les circonstances, vers la vulgarité surtout quand il a les nerfs tendus. Contre de prétendus éléments de Malick Gackou, il a dégainé, parlant d’ « imbéciles », de « salopards » ! Avec l’âge, il radote, dirait les psychologues.
Dans le Macky, il est apathique à cause de l’âge, indécis et dépensier avec cette luxurieuse voiture qu’il acheta. Pour rester, il use de ruse et prend le Macky en otage contre ceux qui revendiquent sa retraite et encombre.
Tanor, l’impopulaire perdant
Né dans un hameau, sorti de l’anonymat avec son accès au cœur de la Présidence de la République, sa date de naissance, 02 Janvier 1947, fait controverse. Elle semble approximative, l’état civil n’étant pas présent dans les cités rurales de l’époque coloniale. Ceux qui sont nés à la veille ou au lendemain de l’Indépendance, semblent l’indisposer, comme Khalifa Sall et « ses gosses » (sic) Barthélémy, Bamba et Idrissa Diallo. Mais son drame est d’être comme une poisse politique.
Taciturne tombeur de l’UPS-PS, son installation par effraction à la tête du parti s’est soldée par une spirale de revers électoral. Sa nomination à la Présidence de ce HCCT est mal vue. Elle a augmenté le discrédit contre Macky, pris comme le créateur d’une Institution bidon dont la vocation est de caser des Mackysards de boulevard. Aussi impopulaire que ce HCCT, Tanor n’a rien construit dans ce pays. Il sait administrer et ne sait rien bâtir. A Macky Sall et à l’APR, il apporterait plutôt une disgrâce électorale. Jamais élu, toujours nommé par supercherie, ce OTD, dirait Abdou Aziz Tall, ancien DG de la LONASE, est l’homme des Institutions de circonstances. Il est à la veille de l’âge de la prise de retraite politique de Léopold Sédar Senghor. Il a 70 ans, mais il refuse de vieillir pour bien profiter du Macky, comme son petit-frère Djibo.
Djibo, l’inutile du Macky
Il fut aussi de tous les régimes. Grand homme d’Etat pour ce qu’il fut, il est une négation de toute morale politique pour ce qu’il fit. Qu’il soit rénovateur ou nouveau Mackysard, il est l’incarnation entière du PS senghorien et dioufiste. L’usure du temps, l’érosion de la parole et la corrosion de son URD, le mettent sur la touche. Grâce à Aly Ngouille Ndiaye de Linguère, Macky Sall l’a installé à la tête d’une Commission nationale du Dialogue des Territoires pour qu’il ne s’engloutisse pas dans le néant. Mais l’éthique ne pilote pas son action politique. Il est un carnivore qui finit par mordre la main qui le sert.
Après s’être retourné contre Diouf, contre Wade et aujourd’hui contre Macky en ciblant Aly Ngouille qui a lourdement pesé pour son adoubement, Djibo ignore que la plume du vautour est plus lourde que son URD. Vieil homme du passé, il conspire contre ceux qui assument le renouvellement du personnel politique comme à Linguère. Hélas, son nom provoque aussi bien dans le Djolof que dans le reste du Sénégal, hilarité et dédain. Homme politique caduc, obsolète, il est inassouvi et en veut encore. Cette boulimie a altéré son URD identifiable à une ….Union du Reniement Démoniaque
Le Piroguier