Le monde universitaire et scientifique est en deuil suite à la disparition, ce vendredi, du Pr Cheikh Ibrahima Niang, enseignant-chercheur à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Sénégal. Spécialisé en anthropologie sociale et en sciences de l’environnement, il a marqué son domaine par ses contributions majeures à la recherche sur les questions de santé publique en Afrique.
Le Pr Niang était un expert reconnu des enjeux sociaux liés au VIH/SIDA. Ses travaux ont porté sur les impacts sociaux, politiques et culturels de l’épidémie, ainsi que sur les stratégies de prévention adaptées aux contextes africains.
Maître de conférence assimilé, il a mené des recherches approfondies sur ces sujets au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Rwanda, au Burkina Faso, en Gambie et en Guinée, et a signé de nombreuses publications académiques sur la sexualité et les approches culturelles face à la pandémie.
En parallèle de ses activités de chercheur, le Pr Niang a exercé un rôle de conseiller technique auprès de plusieurs agences des Nations Unies, telles que l’ONUSIDA, l'OMS, la Banque mondiale, le PNUD et le BIT. Il a également coordonné le Réseau SAHARA (Social Aspects of HIV/AIDS Research Alliance) pour l’Afrique de l’Ouest, un groupe de recherche pionnier sur les dimensions sociales du VIH/SIDA dans la région.
La disparition du Pr Niang laisse un vide immense dans le domaine de la recherche en santé publique en Afrique. Ses collègues et les institutions qu’il a soutenues perdent un scientifique engagé, un mentor respecté et un homme de conviction.
Le Soleil
Le Pr Niang était un expert reconnu des enjeux sociaux liés au VIH/SIDA. Ses travaux ont porté sur les impacts sociaux, politiques et culturels de l’épidémie, ainsi que sur les stratégies de prévention adaptées aux contextes africains.
Maître de conférence assimilé, il a mené des recherches approfondies sur ces sujets au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Rwanda, au Burkina Faso, en Gambie et en Guinée, et a signé de nombreuses publications académiques sur la sexualité et les approches culturelles face à la pandémie.
En parallèle de ses activités de chercheur, le Pr Niang a exercé un rôle de conseiller technique auprès de plusieurs agences des Nations Unies, telles que l’ONUSIDA, l'OMS, la Banque mondiale, le PNUD et le BIT. Il a également coordonné le Réseau SAHARA (Social Aspects of HIV/AIDS Research Alliance) pour l’Afrique de l’Ouest, un groupe de recherche pionnier sur les dimensions sociales du VIH/SIDA dans la région.
La disparition du Pr Niang laisse un vide immense dans le domaine de la recherche en santé publique en Afrique. Ses collègues et les institutions qu’il a soutenues perdent un scientifique engagé, un mentor respecté et un homme de conviction.
Le Soleil