C’est une affaire d’escroquerie, de faux et usage de faux qui hante le sommeil de Moustapha Sy, fils de Souris et beau fils de Moustapha Niasse, selon "Confidentiel La lettre Quotidienne."
Les faits remontent à 2016, quand au montage de la marque Tangus (tangana moderne), Sy en compagnie de ses associés monsieur Emile Haim El Maleem et madame Khadigé Hachem, proposent à un homme d’affaires turc, Avraham Salmonovich, la cession de 20 % d’actions détenus collectivement dans la société Sénégal Point Chaud. Lesquelles actions leur auraient été cédées par un de leurs partenaires dans le projet, les Grands Moulins de Dakar.
Ainsi, le turc versera par chèque SGBS la somme de 2 millions de francs CFA et un autre chèque de la même banque de 264 millions de francs à titre de compte courant actionnaire, avec la promesse de remboursement dans les deux années à partir de la signature du pacte d’actionnaires.
En 2017, après avoir attendu plus d’une année, le turc interpelle amicalement le trio pour que la cession d’actions se fasse, mais rien.
De guerre lasse, il enverra un exploit d’huissier pour retrouver ses actions ou être remboursé. Rien de cela ne sera fait. Ainsi, depuis mars 2019, Salmonovich a saisi l’avocat Me Joseph Diop du barreau de Dakar pour rentrer dans ses fonds. Ce dernier a porté plainte devant le doyen des juges avec constitution de partie civile.
Dans sa requête, l’avocat est sans ambages : «Il apparait que les Grands Moulins n’ont jamais cédé aux sieurs les 20 % des actions que ces derniers ont voulu rétrocéder à Avraham Salmonovich ».
Dans la même missive, l’avocat indique que les actes de saisies et requêtes envoyées à la Conservation foncière et aux banques sont revenus infructueux. Pour Me Diop, les mis en cause ont tout bonnement organisé leur insolvabilité.
Pour le défenseur du turc, le trio d’associés a tout simplement escroqué son client. Le dossier est en instruction et des auditions auraient déjà eu lieu à la gendarmerie...
Les faits remontent à 2016, quand au montage de la marque Tangus (tangana moderne), Sy en compagnie de ses associés monsieur Emile Haim El Maleem et madame Khadigé Hachem, proposent à un homme d’affaires turc, Avraham Salmonovich, la cession de 20 % d’actions détenus collectivement dans la société Sénégal Point Chaud. Lesquelles actions leur auraient été cédées par un de leurs partenaires dans le projet, les Grands Moulins de Dakar.
Ainsi, le turc versera par chèque SGBS la somme de 2 millions de francs CFA et un autre chèque de la même banque de 264 millions de francs à titre de compte courant actionnaire, avec la promesse de remboursement dans les deux années à partir de la signature du pacte d’actionnaires.
En 2017, après avoir attendu plus d’une année, le turc interpelle amicalement le trio pour que la cession d’actions se fasse, mais rien.
De guerre lasse, il enverra un exploit d’huissier pour retrouver ses actions ou être remboursé. Rien de cela ne sera fait. Ainsi, depuis mars 2019, Salmonovich a saisi l’avocat Me Joseph Diop du barreau de Dakar pour rentrer dans ses fonds. Ce dernier a porté plainte devant le doyen des juges avec constitution de partie civile.
Dans sa requête, l’avocat est sans ambages : «Il apparait que les Grands Moulins n’ont jamais cédé aux sieurs les 20 % des actions que ces derniers ont voulu rétrocéder à Avraham Salmonovich ».
Dans la même missive, l’avocat indique que les actes de saisies et requêtes envoyées à la Conservation foncière et aux banques sont revenus infructueux. Pour Me Diop, les mis en cause ont tout bonnement organisé leur insolvabilité.
Pour le défenseur du turc, le trio d’associés a tout simplement escroqué son client. Le dossier est en instruction et des auditions auraient déjà eu lieu à la gendarmerie...