Les accusations portées contre Moustapha Ndiaye
Les charges retenues contre Moustapha Ndiaye sont lourdes. La plainte déposée auprès du procureur de la République, inclut des délits d’usurpation de fonction, faux en écriture privée et usage de faux. Selon les faits rapportés, Moustapha Ndiaye aurait convoqué une réunion du Conseil d'Administration de la société WAE, le 14 février 2024, alors qu'il n’avait plus la légitimité de le faire. Le procès-verbal de cette réunion est qualifié de faux manifeste, par plusieurs sources proches de l'enquête.
Le rôle de Samuel Sarr dans l’affaire
Samuel Sarr, appuyé par des cabinets d'audit et des conseillers juridiques, a dénoncé les manœuvres frauduleuses de Moustapha Ndiaye. Il estime que ces actions nuisent à la bonne gestion de West African Energy et menacent la stabilité du secteur énergétique sénégalais. En effet, des projets d’envergure sont en cours et ces affaires de fraude risquent de retarder des avancées importantes pour l’État du Sénégal et ses citoyens.
Le rôle des auditeurs et du Conseil d'Administration
Le cabinet d’audit MAZARS et un contre-audit du cabinet NEXIA RMA, ont relevé de nombreuses irrégularités dans les actions de Moustapha Ndiaye. L’audit a mis en lumière des lacunes dans la gestion de la gouvernance de la société WAE. En réponse à cela, un nouveau Conseil d'Administration a été élu le 3 février 2024, avec Papa Mademba Bitèye, Directeur général de la SENELEC, prenant le relais en tant que président.
L'affaire entre Samuel Sarr et Moustapha Ndiaye souligne l'importance de la transparence et de l'intégrité dans la gestion des grandes entreprises au Sénégal. Alors que le secteur de l'énergie joue un rôle clé dans l’avenir du pays, ces actions judiciaires visent à rétablir la confiance et à assurer que les projets d’envergure, comme ceux de West African Energy, puissent avancer sans entrave.
dakartimes
Les charges retenues contre Moustapha Ndiaye sont lourdes. La plainte déposée auprès du procureur de la République, inclut des délits d’usurpation de fonction, faux en écriture privée et usage de faux. Selon les faits rapportés, Moustapha Ndiaye aurait convoqué une réunion du Conseil d'Administration de la société WAE, le 14 février 2024, alors qu'il n’avait plus la légitimité de le faire. Le procès-verbal de cette réunion est qualifié de faux manifeste, par plusieurs sources proches de l'enquête.
Le rôle de Samuel Sarr dans l’affaire
Samuel Sarr, appuyé par des cabinets d'audit et des conseillers juridiques, a dénoncé les manœuvres frauduleuses de Moustapha Ndiaye. Il estime que ces actions nuisent à la bonne gestion de West African Energy et menacent la stabilité du secteur énergétique sénégalais. En effet, des projets d’envergure sont en cours et ces affaires de fraude risquent de retarder des avancées importantes pour l’État du Sénégal et ses citoyens.
Le rôle des auditeurs et du Conseil d'Administration
Le cabinet d’audit MAZARS et un contre-audit du cabinet NEXIA RMA, ont relevé de nombreuses irrégularités dans les actions de Moustapha Ndiaye. L’audit a mis en lumière des lacunes dans la gestion de la gouvernance de la société WAE. En réponse à cela, un nouveau Conseil d'Administration a été élu le 3 février 2024, avec Papa Mademba Bitèye, Directeur général de la SENELEC, prenant le relais en tant que président.
L'affaire entre Samuel Sarr et Moustapha Ndiaye souligne l'importance de la transparence et de l'intégrité dans la gestion des grandes entreprises au Sénégal. Alors que le secteur de l'énergie joue un rôle clé dans l’avenir du pays, ces actions judiciaires visent à rétablir la confiance et à assurer que les projets d’envergure, comme ceux de West African Energy, puissent avancer sans entrave.
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