Ne comptez pas sur Moustapha Diakhaté, cacique du parti présidentiel (l’Apr), pour applaudir la sévère sortie d’Ameth Khalifa Niasse contre Ousmane Sonko.
Le premier a laissé entendre dans une contribution que la candidature du leader de Pastef serait celle de Daesh, et qu’elle serait inacceptable dans un pays comme le Sénégal.
« Notre Constitution, en proclamant ‘le respect et la garantie intangibles des libertés philosophiques et religieuses’, prohibe la stigmatisation de choix confessionnel des citoyens sénégalais. Nul n’a le droit de condamner un compatriote pour ce qu’il est ou ce qu’il n’est pas, religieusement parlant, rappelle Diakhaté dans une tribune publiée ce mardi. Le débat doit se situer sur les politiques économiques et sociales mises en œuvre ou proposées. La démocratie c’est d’abord et avant tout : la tolérance », enseigne-t-il au marabout distingué pour ses écarts de langage.
Le premier a laissé entendre dans une contribution que la candidature du leader de Pastef serait celle de Daesh, et qu’elle serait inacceptable dans un pays comme le Sénégal.
« Notre Constitution, en proclamant ‘le respect et la garantie intangibles des libertés philosophiques et religieuses’, prohibe la stigmatisation de choix confessionnel des citoyens sénégalais. Nul n’a le droit de condamner un compatriote pour ce qu’il est ou ce qu’il n’est pas, religieusement parlant, rappelle Diakhaté dans une tribune publiée ce mardi. Le débat doit se situer sur les politiques économiques et sociales mises en œuvre ou proposées. La démocratie c’est d’abord et avant tout : la tolérance », enseigne-t-il au marabout distingué pour ses écarts de langage.