La figure adoubée à ses débuts pour la reddition des comptes semble ostracisée, à l’heure des ententes de la realpolitik. Mais mimi ne compte pas encaisser les contrecoups politiques de la fameuse “ traque ’’
Les initiateurs de la traque semblent la laisser toute seule dans un combat dont les maigres résultats tranchent d’avec les mirobolantes de la phase initiale. Nos confrères de "EnQuête" sont formels. Les sorties récentes de l’ex-premier ministre montre à suffisance qu’elle cherche à se positionner sur l’échiquier politique du pays, sur lequel elle a toujours été poussée vers les périphéries. Pour sa part, Maurice Soudieck Dionne, Docteur en science politique, enseignant-chercheur à l’UGB pense qu’il est possible d’expliquer l’attitude de l’ex-premier ministre comme une volonté de redorer le blason de la traque des biens mal acquis qui a définitivement perdu toute crédibilité aux yeux de l’opinion, en raison de son caractère sélectif.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Même constat également pour un ancien parlementaire, Abdou Sané qui trouve que Mimi Touré se refuse d’être victime d’un compromis politique. Pour M. Sané, ‘’Mimi, pour ne pas devenir ridicule, aimerait l’aile dure qui souhaite que la traque se poursuive. Ce qui ne semble pas aller dans le sens de la volonté du Président de la République qui, cherchant à obtenir un second mandat, comptera sur le soutien politique de certains qui figurent sur la liste‘’.
Toutefois, tout porte à croire qu’après son retour par la petite porte institutionnelle, suite à son éviction après les Locales de 2014, et bien qu'elle soit revenu comme envoyée spéciale du Président de la République, elle ne semble toujours pas fixe sur l’échiquier politique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
Les initiateurs de la traque semblent la laisser toute seule dans un combat dont les maigres résultats tranchent d’avec les mirobolantes de la phase initiale. Nos confrères de "EnQuête" sont formels. Les sorties récentes de l’ex-premier ministre montre à suffisance qu’elle cherche à se positionner sur l’échiquier politique du pays, sur lequel elle a toujours été poussée vers les périphéries. Pour sa part, Maurice Soudieck Dionne, Docteur en science politique, enseignant-chercheur à l’UGB pense qu’il est possible d’expliquer l’attitude de l’ex-premier ministre comme une volonté de redorer le blason de la traque des biens mal acquis qui a définitivement perdu toute crédibilité aux yeux de l’opinion, en raison de son caractère sélectif.
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Toutefois, tout porte à croire qu’après son retour par la petite porte institutionnelle, suite à son éviction après les Locales de 2014, et bien qu'elle soit revenu comme envoyée spéciale du Président de la République, elle ne semble toujours pas fixe sur l’échiquier politique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});