Abdoul Aziz Ndao, âgé de 40 ans, avait été condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité par la Cour d’assises de Kaolack pour après avoir tué son père. Sa peine a été confirmée en appel par la chambre criminelle d’appel.
Reconnu coupable en première instance par la Cour d’assises de Kaolack en 2014, son jugement a été confirmé en appel par les magistrats de la chambre criminelle de la Cour d’appel de Kaolack. Lors de son jugement, Abdoul Aziz Ndao était largement revenu sur les circonstances de ce drame.
D’après le quotidien l’observateur, les choses ont dégénéré le 02 janvier 2010, quand Abdoul Aziz apprend que la deuxième femme de son père a donné naissance à des jumeaux. Il se met en colère et commence à perturber la quiétude de sa famille, obligeant son père à alerter les forces de l’ordre.
Il sera ensuite arrêté puis libéré. Furieux contre son père, il décide d’en finir avec lui. Il attendra l’appel du muezzin pour sortir de sa chambre et régler les comptes à son papa. Aziz entrera dans la cuisine, prend un une barre de fer et porte des coups à son papa. Ce dernier se retrouve avec des blessures dont une ouverture de la jambe. Il succombera finalement à ses blessures à l’hôpital El hadj Ibrahima Niass de Kaolack.
La Cour d'assises avait condamné Aziz Ndao aux travaux forcés à perpétuité en première instance. Le même verdict a été confirmé par la chambre criminelle d'appel de la cour d'appel de Kaolack.
D’après le quotidien l’observateur, les choses ont dégénéré le 02 janvier 2010, quand Abdoul Aziz apprend que la deuxième femme de son père a donné naissance à des jumeaux. Il se met en colère et commence à perturber la quiétude de sa famille, obligeant son père à alerter les forces de l’ordre.
Il sera ensuite arrêté puis libéré. Furieux contre son père, il décide d’en finir avec lui. Il attendra l’appel du muezzin pour sortir de sa chambre et régler les comptes à son papa. Aziz entrera dans la cuisine, prend un une barre de fer et porte des coups à son papa. Ce dernier se retrouve avec des blessures dont une ouverture de la jambe. Il succombera finalement à ses blessures à l’hôpital El hadj Ibrahima Niass de Kaolack.
La Cour d'assises avait condamné Aziz Ndao aux travaux forcés à perpétuité en première instance. Le même verdict a été confirmé par la chambre criminelle d'appel de la cour d'appel de Kaolack.