L'écoute téléphonique est la surveillance de conversations téléphoniques conventionnelle ou de communication réalisée via internet souvent par moyens dissimulés. Seules des dispositions légales permettent à la justice d'autoriser l'écoute sous ces différentes formes par les autorités ou agences de renseignements pour des motifs reconnus comme autorisés.La Présidence s'est dotée d’un système d'écoutes hyper performant
Et pour cela les opérateurs de téléphonie sont mis à profit de gré ou de force pour signaler toute communication de nature à atteindre la sureté de l’État. Et souvent les opérateurs n'ont pas les moyens de résister aux états et sont obligés de se plier en livrant les données des clients.
Mais le plus grave nous confie un haut cadre d'Orange," une des forces des services de renseignements résiderait dans le fait qu'ils ne se contentent pas des autorisations accordés par la justice pour accéder aux données des clients. Ils ( Renseignements) disposent surtout à l'insu de tout contrôle, d'un accès libre et total aux réseaux et aux flux de données qui y transitent". Et notre cadre d'ajouter ceci " Au sommet de la hiérarchie ,on se refuse à tout commentaire et on avance juste que si la puissance publique est devenue minoritaire au sein du capital de l'entreprise, le plus ancien opérateur reste considéré comme un délégataire de service public. Le savoir-faire contribue de manière essentielle aujourd'hui comme hier à la sécurité du territoire".
Interrogé par nos soins, un officier des Renseignements Généraux nous confirme à demi mot, "Effectivement des personnes habilitées peuvent avoir à gérer au sein de l'entreprise, la relation avec les services secrets et notamment leur accès aux réseaux, sans en référer aux responsables de l'entreprise. Mais tout ceci se fait sous la responsabilité des pouvoirs publics et dans un cadre légal".
"Mais cela entraine souvent des manquements et peut même jouer sur les relations avec nos clients, car nous ne pouvons pas dire tout haut à ces derniers que leurs données personnelles sont partagées avec d'autres "renchérit notre cadre d'entreprise .
Qui plus est, dakarposte a pu glaner que l'Etat a été encore motivé par "le cas Soro" allusion faite à ces écoutes dévoilées au grand jour par voie de presse qui font apparaitre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne (Guillaume Soro) comme un "planificateur" du coup d'Etat manqué.
Quid de ceux qui sont les plus écoutés?
A cette question, des sources tapies dans les coursives de l'Etat et d'un de nos services de renseignements de révéler que c'est quasiment toutes les franges qui sont écoutés. Mais, les adeptes du Jihadisme, les politiques particulièrement ceux de l'opposition dite significative et même ceux du régime en place sont plus qu'écoutés. Pour ainsi dire qu'ils sont même filés. "Vous vous rappelez que le Président Macky Sall s'était plaint lors d'une réunion au Palais Présidentiel des fuites organisées, c'est à dire ces réunions et autres informations de première main concernant l'Etat, entre autres qui sont étalées sur la place publique via la presse. Vous aurez donc compris les raisons de ces écoutes et filatures" étaye une de nos sources.
Abondant dans le même sens, cet acteur du milieu judiciaire, précisément du Parquet de Dakar, de renchérir que l'Etat veut savoir qui bafoue surtout les secrets des dossiers en instruction ou ceux de la Cour du Flagrant Délit. "Je vous dis, une enquête a d'ailleurs été discrètement menée et des acteurs judiciaires ont été entendu. Cette procédure est en cours pour savoir qui offre à la presse des informations sur les dossiers encore pendantes, particulièrement les affaires concernant le terrorisme, l'armée, entre autres sujets sensibles"
Il nous revient cependant que ce sont ces écoutes (comme le révélait dakarposte, il y'a de cela quelques jours) qui ont motivé la dernière convocation de Clédor Sène. Aussi, l'Etat s'intéresse t'il comme pas deux à des appels passés par le fossoyeur Saer Gningue, une autre personne citée répondant au nom de Niass etc...
C'est dire...
Edouard
Et pour cela les opérateurs de téléphonie sont mis à profit de gré ou de force pour signaler toute communication de nature à atteindre la sureté de l’État. Et souvent les opérateurs n'ont pas les moyens de résister aux états et sont obligés de se plier en livrant les données des clients.
Mais le plus grave nous confie un haut cadre d'Orange," une des forces des services de renseignements résiderait dans le fait qu'ils ne se contentent pas des autorisations accordés par la justice pour accéder aux données des clients. Ils ( Renseignements) disposent surtout à l'insu de tout contrôle, d'un accès libre et total aux réseaux et aux flux de données qui y transitent". Et notre cadre d'ajouter ceci " Au sommet de la hiérarchie ,on se refuse à tout commentaire et on avance juste que si la puissance publique est devenue minoritaire au sein du capital de l'entreprise, le plus ancien opérateur reste considéré comme un délégataire de service public. Le savoir-faire contribue de manière essentielle aujourd'hui comme hier à la sécurité du territoire".
Interrogé par nos soins, un officier des Renseignements Généraux nous confirme à demi mot, "Effectivement des personnes habilitées peuvent avoir à gérer au sein de l'entreprise, la relation avec les services secrets et notamment leur accès aux réseaux, sans en référer aux responsables de l'entreprise. Mais tout ceci se fait sous la responsabilité des pouvoirs publics et dans un cadre légal".
"Mais cela entraine souvent des manquements et peut même jouer sur les relations avec nos clients, car nous ne pouvons pas dire tout haut à ces derniers que leurs données personnelles sont partagées avec d'autres "renchérit notre cadre d'entreprise .
Qui plus est, dakarposte a pu glaner que l'Etat a été encore motivé par "le cas Soro" allusion faite à ces écoutes dévoilées au grand jour par voie de presse qui font apparaitre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne (Guillaume Soro) comme un "planificateur" du coup d'Etat manqué.
Quid de ceux qui sont les plus écoutés?
A cette question, des sources tapies dans les coursives de l'Etat et d'un de nos services de renseignements de révéler que c'est quasiment toutes les franges qui sont écoutés. Mais, les adeptes du Jihadisme, les politiques particulièrement ceux de l'opposition dite significative et même ceux du régime en place sont plus qu'écoutés. Pour ainsi dire qu'ils sont même filés. "Vous vous rappelez que le Président Macky Sall s'était plaint lors d'une réunion au Palais Présidentiel des fuites organisées, c'est à dire ces réunions et autres informations de première main concernant l'Etat, entre autres qui sont étalées sur la place publique via la presse. Vous aurez donc compris les raisons de ces écoutes et filatures" étaye une de nos sources.
Abondant dans le même sens, cet acteur du milieu judiciaire, précisément du Parquet de Dakar, de renchérir que l'Etat veut savoir qui bafoue surtout les secrets des dossiers en instruction ou ceux de la Cour du Flagrant Délit. "Je vous dis, une enquête a d'ailleurs été discrètement menée et des acteurs judiciaires ont été entendu. Cette procédure est en cours pour savoir qui offre à la presse des informations sur les dossiers encore pendantes, particulièrement les affaires concernant le terrorisme, l'armée, entre autres sujets sensibles"
Il nous revient cependant que ce sont ces écoutes (comme le révélait dakarposte, il y'a de cela quelques jours) qui ont motivé la dernière convocation de Clédor Sène. Aussi, l'Etat s'intéresse t'il comme pas deux à des appels passés par le fossoyeur Saer Gningue, une autre personne citée répondant au nom de Niass etc...
C'est dire...
Edouard