Sur les raisons…
«Cette affaire a été renvoyée pour ce qu’on appelle dans le jargon judiciaire, la mis en état. Vous vous rappelez qu’à la dernière audience, c’est le procureur de la République qui avait demandé le renvoi pour procéder à la levée de l’immunité parlementaire du maire Barthélémy Dias. Cela a été fait et le dossier revient, maintenant, sur le bureau du Tribunal.
Aujourd’hui, le Tribunal devait faire deux choses : constater que tous les prévenus, les témoins et la partie civile étaient là. Et surtout vérifier si les avocats sont en état de plaider. Ce qui a été fait et nous avons vu qu’il y a des prévenus qui n’ont pas été là. Ils ont été appelés, mais ils n’ont pas comparu et les droits de la défense sont sacrés. Ils veulent que toutes les commodités soient prises et que les prévenus avertis, afin de comparaître avant d’être jugés.
Tenant compte de toutes ces considérations, le Tribunal a estimé que c’est un dossier important où beaucoup d’acteurs interviennent et beaucoup d’avocats constitués, raison pour laquelle, il a fixé une audience spéciale au 25 janvier en précisant que c’est la date butoir. Et que tout le monde devait comparaître à cette date.
Ainsi, le 25 janvier prochain, vous entendrez les accusations du Procureur et les plaidoiries des avocats de la défense. Et le Tribunal fera son œuvre de justice».
Sur les commanditaires…
«C’est vrai que Barthélémy l’a dit. C’est sa position. Nous la partageons. Il nous revient à nous, avocats de la défense, de procéder à toutes les diligences c’est-à-dire tous les actes de convocations nécessaires pour que les commanditaires soient à la barre, le 25 janvier prochain. Je me concerte avec mes collègues. Nous le ferons et nous enverrons les citations qu’il faut».
Sur la mascarade judiciaire…
«Je ne parlerai pas de mascarade. Voyez-vous que, depuis hier (mercredi), j’appelle au calme dans cette affaire. C’est un dossier judiciaire qui mérite d’être traité avec toute la dignité qui sied pour les professionnels de justice que nous sommes.
Pour autant, on ne peut pas ne pas penser qu’il y a des relents politiques dans cette affaire. Et nous le démontrerons le 25 janvier. Nous donnerons la primeur de cette démonstration au Tribunal face auquel nous ferons face le 25 janvier».
Actusen.com
«Cette affaire a été renvoyée pour ce qu’on appelle dans le jargon judiciaire, la mis en état. Vous vous rappelez qu’à la dernière audience, c’est le procureur de la République qui avait demandé le renvoi pour procéder à la levée de l’immunité parlementaire du maire Barthélémy Dias. Cela a été fait et le dossier revient, maintenant, sur le bureau du Tribunal.
Aujourd’hui, le Tribunal devait faire deux choses : constater que tous les prévenus, les témoins et la partie civile étaient là. Et surtout vérifier si les avocats sont en état de plaider. Ce qui a été fait et nous avons vu qu’il y a des prévenus qui n’ont pas été là. Ils ont été appelés, mais ils n’ont pas comparu et les droits de la défense sont sacrés. Ils veulent que toutes les commodités soient prises et que les prévenus avertis, afin de comparaître avant d’être jugés.
Tenant compte de toutes ces considérations, le Tribunal a estimé que c’est un dossier important où beaucoup d’acteurs interviennent et beaucoup d’avocats constitués, raison pour laquelle, il a fixé une audience spéciale au 25 janvier en précisant que c’est la date butoir. Et que tout le monde devait comparaître à cette date.
Ainsi, le 25 janvier prochain, vous entendrez les accusations du Procureur et les plaidoiries des avocats de la défense. Et le Tribunal fera son œuvre de justice».
Sur les commanditaires…
«C’est vrai que Barthélémy l’a dit. C’est sa position. Nous la partageons. Il nous revient à nous, avocats de la défense, de procéder à toutes les diligences c’est-à-dire tous les actes de convocations nécessaires pour que les commanditaires soient à la barre, le 25 janvier prochain. Je me concerte avec mes collègues. Nous le ferons et nous enverrons les citations qu’il faut».
Sur la mascarade judiciaire…
«Je ne parlerai pas de mascarade. Voyez-vous que, depuis hier (mercredi), j’appelle au calme dans cette affaire. C’est un dossier judiciaire qui mérite d’être traité avec toute la dignité qui sied pour les professionnels de justice que nous sommes.
Pour autant, on ne peut pas ne pas penser qu’il y a des relents politiques dans cette affaire. Et nous le démontrerons le 25 janvier. Nous donnerons la primeur de cette démonstration au Tribunal face auquel nous ferons face le 25 janvier».
Actusen.com