Les chauffeurs doivent bien s’assurer de la nature des produits que leurs clients leur font transporter. En 2021, à Boune, l’accusé tombe sur un client qui veut une location de transport avec comme destination Sandiara, dans le département de Mbour, en aller et retour. Ils s’accordent sur la somme de 40 000 FCFA. Mais au retour, à Keur Balla, un contrôle des gendarmes a permis la découverte d’un sac contenant du chanvre indien. Le client propriétaire de la marchandise frauduleuse réussit à prendre la poudre d’escampette.
Dans son témoignage, le chauffeur déclare qu’il ne savais pas qu’il y avait un sac contenant du chanvre indien. Il confirme qu’il devais transporter son client à Sandiara avec ses deux valises et un sac. Toute fois, le chauffeur confirme qu’il avait bien vu qu’il y avait bel et bien du foin dans le sac. Une fois à Sandiara, il a déposé les deux valises chez lui et est sorti avec un sac. Je jure que je n’en connaissais pas le contenu», a déclaré l’accusé.
Selon les informations, le sac contenait 25 kilos de chanvre et ce sont les gendarmes en faction à Keur Balla qui ont procédé au contrôle. Pour l’avocat général, l’accusé Ibrahima Kébé est coupable des faits de trafic intérieur et d’association de malfaiteurs. Il a, par conséquent, requis dix ans de réclusion criminelle.
L’accusé sera fixé sur son sort le 17 novembre prochain
rewmi
Dans son témoignage, le chauffeur déclare qu’il ne savais pas qu’il y avait un sac contenant du chanvre indien. Il confirme qu’il devais transporter son client à Sandiara avec ses deux valises et un sac. Toute fois, le chauffeur confirme qu’il avait bien vu qu’il y avait bel et bien du foin dans le sac. Une fois à Sandiara, il a déposé les deux valises chez lui et est sorti avec un sac. Je jure que je n’en connaissais pas le contenu», a déclaré l’accusé.
Selon les informations, le sac contenait 25 kilos de chanvre et ce sont les gendarmes en faction à Keur Balla qui ont procédé au contrôle. Pour l’avocat général, l’accusé Ibrahima Kébé est coupable des faits de trafic intérieur et d’association de malfaiteurs. Il a, par conséquent, requis dix ans de réclusion criminelle.
L’accusé sera fixé sur son sort le 17 novembre prochain
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