Le contexte actuel sur les ressources naturelles suscitant un débat qui n’a pas encore connu son épilogue s’est poursuivi à l’hémicycle ce dimanche. En marge de la séance plénière sur le code minier, le député Pape Abdou Khadir Mbodj est revenu sur la mainmise des Indiens sur les Industries chimiques du Sénégal (ICS).
«Nous ne pouvons pas concevoir qu’une entreprise Indienne ne verse pas de redevances minières, ne paye pas d’impôts, ne paye pas de Tva, ne paye pas de droit de douane…alors le peu qui nous reste c’est-à-dire l’emploi on va permettre que des indiens travaillent à la place des Sénégalais», a déploré le député.
Très en verve contre cette injustice, il poursuit : «si c’est la loi qui a permis à cette société de fonctionner de la sorte, je ferais une proposition de loi pour que cela s’arrête». Pour avoir habité à la cité Mbaye Mbaye à Taïba, le député continue : «il y a 400 Indiens qui travaillent aux Ics. Comment on peut laisser ça à une entreprise étrangère?».
Pour Hélène Tine, la première question est de savoir combien d’hectares disposent les Ics car dit-elle, «c’est une information que l’on n’a pas parce que cette société annonce de nouveaux projets qui doivent engendrer plus de 1000 emplois et en général ce sont des indiens qui y travaillent et d’ailleurs il est dit que ce sont des repris de justice. Nous avons des prisons pleines et pour cela nous devons prendre nos prisonniers».
Jotay
«Nous ne pouvons pas concevoir qu’une entreprise Indienne ne verse pas de redevances minières, ne paye pas d’impôts, ne paye pas de Tva, ne paye pas de droit de douane…alors le peu qui nous reste c’est-à-dire l’emploi on va permettre que des indiens travaillent à la place des Sénégalais», a déploré le député.
Très en verve contre cette injustice, il poursuit : «si c’est la loi qui a permis à cette société de fonctionner de la sorte, je ferais une proposition de loi pour que cela s’arrête». Pour avoir habité à la cité Mbaye Mbaye à Taïba, le député continue : «il y a 400 Indiens qui travaillent aux Ics. Comment on peut laisser ça à une entreprise étrangère?».
Pour Hélène Tine, la première question est de savoir combien d’hectares disposent les Ics car dit-elle, «c’est une information que l’on n’a pas parce que cette société annonce de nouveaux projets qui doivent engendrer plus de 1000 emplois et en général ce sont des indiens qui y travaillent et d’ailleurs il est dit que ce sont des repris de justice. Nous avons des prisons pleines et pour cela nous devons prendre nos prisonniers».
Jotay