R. P. Okoh arrêté aux Maristes. L'Observateur, qui relaye l'information, informe que le Nigérian, qui se faisait passer pour un consultant, a été interpellé par les éléments de la division opérationnelle de l'Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis).
Les limiers sont entrés en action, le 24 décembre dernier, vers 23H30, après des renseignements faisant état «d'un dense trafic de drogue dure tenues aux Maristes par un ressortissant nigérian» dont le domicile sera placé sous surveillance avant le déclenchement de l'opération, renseigne le journal.
«Après s'être fait une idée précise sur les activités et autres connexions suspectes de la cible, les limiers de l'Ocrtis décident d'infiltrer le QG [quartier général] du caïd-consultant, détaille la même source. La mission est conviée à un lièvre qui, rompu à ce type d'exercice, réussit à prendre le contact du Nigérian. {Puis], se faisant passer pour un client potentiel, l'élément infiltré parvient à passer une première commande de mise en confiance portant sur 2 grammes de cocaïne achetés à 50 000 F Cfa.»
Le piège se refermera sur le trafiquant «au moment de conclure la transaction au niveau du rond point des Maristes», indique le titre du Groupe futurs médias. Qui signale que les éléments du dispositif, placés en embuscade, interviendront pour procéder à l'interpellation du Nigérian suivie de la perquisition de son appartement. Une opération qui aboutira à «la découverte de 26 autres grammes de cocaïne, ainsi que 20 grammes d'une substance non encore identifiée». Une balance électrique, un lot de factures de transferts d'argent et la somme de 450 000 F Cfa ont été également saisis.
Une seconde perquisition sera effectuée dès le lendemain, 25 décembre, «soldée par la découverte dans une autre pièce de l'appartement du mis en cause d'un pain de cocaïne pesant 1kg, ainsi qu'un sachet contenant le même produit, pour un poids total de 1,1 kg de cocaïne».
Okoh, né en 1982 à Lagos et marié et père de trois enfants, a été déféré au Parquet de Dakar. L'enquête se poursuit. Un autre suspect est activement recherché, conclut L'Observateur.
SENEWEB
Les limiers sont entrés en action, le 24 décembre dernier, vers 23H30, après des renseignements faisant état «d'un dense trafic de drogue dure tenues aux Maristes par un ressortissant nigérian» dont le domicile sera placé sous surveillance avant le déclenchement de l'opération, renseigne le journal.
«Après s'être fait une idée précise sur les activités et autres connexions suspectes de la cible, les limiers de l'Ocrtis décident d'infiltrer le QG [quartier général] du caïd-consultant, détaille la même source. La mission est conviée à un lièvre qui, rompu à ce type d'exercice, réussit à prendre le contact du Nigérian. {Puis], se faisant passer pour un client potentiel, l'élément infiltré parvient à passer une première commande de mise en confiance portant sur 2 grammes de cocaïne achetés à 50 000 F Cfa.»
Le piège se refermera sur le trafiquant «au moment de conclure la transaction au niveau du rond point des Maristes», indique le titre du Groupe futurs médias. Qui signale que les éléments du dispositif, placés en embuscade, interviendront pour procéder à l'interpellation du Nigérian suivie de la perquisition de son appartement. Une opération qui aboutira à «la découverte de 26 autres grammes de cocaïne, ainsi que 20 grammes d'une substance non encore identifiée». Une balance électrique, un lot de factures de transferts d'argent et la somme de 450 000 F Cfa ont été également saisis.
Une seconde perquisition sera effectuée dès le lendemain, 25 décembre, «soldée par la découverte dans une autre pièce de l'appartement du mis en cause d'un pain de cocaïne pesant 1kg, ainsi qu'un sachet contenant le même produit, pour un poids total de 1,1 kg de cocaïne».
Okoh, né en 1982 à Lagos et marié et père de trois enfants, a été déféré au Parquet de Dakar. L'enquête se poursuit. Un autre suspect est activement recherché, conclut L'Observateur.
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